Magazine Journal intime

Bonjour!

Publié le 30 septembre 2013 par Agathesp

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C’est toujours pareil… Après une si longue absence, on ne sait pas du tout par quoi commencer.

Cette fois-ci c’est différent.

C’est différent parce que je ne pensais pas revenir ici, je n’avais plus rien à dire donc… Puis ce matin, alors que j’entame ma dernière semaine de travail, je me suis instinctivement connectée sur ma page, j’ai été surprise de me souvenir des identifiants, bref, il semblerait que je sois de retour, poussée par une force divine inconnue.

Si tu as lu mon dernier post, tu as compris que j’avais vécu des moments un peu difficiles. A l’heure où j’ai écrit ces mots, j’étais loin d’être remise mais je ne le savais pas encore. Aujourd’hui je ne crie pas victoire mais j’ai réussi à atteindre un bien-être et un mode de vie qui me ressemble.

Je ne vais pas t’expliquer ça comme ça aujourd’hui, ça mérite un minimum de réflexion. Mais promis, tu sauras tout.

Sinon on s’en était arrêté où déjà?

Ha oui, j’étais en vacances et je m’apprêtais à attaquer ce super boulot. Finalement, rapport un peu aux évènements non encore cités, un peu à un mauvais feeling, j’ai bossé là-bas un jour et je suis rentrée chez moi hyper déçue. Après une nuit blanche passée à réfléchir, j’en suis arrivée à la conclusion que si je laissais tomber, il fallait que je le fasse tout de suite.

Je me suis détestée d’avoir fait ça mais moralement, je n’avais pas le courage de supporter une situation déplaisante pendant 2 mois.

Mais comme dit ma mère « les choses arrivent parce qu’elles doivent arriver, il n’y a pas de hasard ». Donc une heure environs après avoir téléphoné pour leur faire faux bond, le pôle emploi publiai une annonce concernant un poste de responsable de résidence dans cet endroit génial ou j’avais fait ma saison d’hiver. CV envoyé dans la foulée, poste  promu et accepté dans la journée.

Donc depuis un peu plus de 2 mois je suis dans cet endroit que j’aime tant, avec une personne que j’aime aussi énormément. On se marche pas dessus, on fait ce qu’il y a à faire et parfois, l’après-midi, il me raconte comment c’était la vie dans les îles… Là je ferme les yeux, je l’écoute et j’oublie tout le reste…


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