Belle brochette d’acteurs pour ce film de clôture : Julie Gayet, Jonathan Zaccaï, Pierre Richard, et Stéphane Guillon.
Tiens, Stéphane Guillon, j’ignorais qu’il était acteur également. J’ignorais aussi qu’il était si mignon, dans le genre brun ténébreux triste à souhait, dans le genre Paul, écrivain qui n’écrit plus, à part des oraisons funèbres, sur commande. Ah, il est talentueux. Cynique, mais talentueux.
Et lorsque Emma (Julie Gayet) lui demande de parler de son mari décédé à Adam, son fils de 8 ans, qui fait un blocage, le voilà entraîné dans une vie qu’il ne voulait pas. Il aime pas ça, lui il écrit pour les enterrements, pas pour les anniversaires, pas pour discutailler avec un enfant. Et pourtant, petit à petit, il va s’intégrer à leur vie… jusqu’à ce que le défunt mari revienne d’entre les morts… oups.
Ça commence en comédie, ça continue en comédie romantique, ça bascule enfin dans le fantastique… faut s’accrocher au niveau transition, qui peut étonner quand on ne s’y attend pas (je ne m’y attendais pas), je regrette juste quelques longueurs au milieu du film, je l’avoue.
Les âmes de papier (joli titre déjà) est l’un de mes coups de cœur de ce 28e FIFF, car il jongle avec du bon humour, de l’amour juste ce qu’il faut, un enfant tout mignon, de l’étrange. On dirait un roman de Musso, version livre…
Très bon moment, et Pierre Richard est fabuleux en ermite chercheur de paperasse hystérique alcoolique sur les bords.
Voilà un autre endroit que je veux voir, après les Nymphéas, ce pont aux cadenas :
Belle brochette d’acteurs pour ce film de clôture : Julie Gayet, Jonathan Zaccaï, Pierre Richard, et Stéphane Guillon.
Tiens, Stéphane Guillon, j’ignorais qu’il était acteur également. J’ignorais aussi qu’il était si mignon, dans le genre brun ténébreux triste à souhait, dans le genre Paul, écrivain qui n’écrit plus, à part des oraisons funèbres, sur commande. Ah, il est talentueux. Cynique, mais talentueux.
Et lorsque Emma (Julie Gayet) lui demande de parler de son mari décédé à Adam, son fils de 8 ans, qui fait un blocage, le voilà entraîné dans une vie qu’il ne voulait pas. Il aime pas ça, lui il écrit pour les enterrements, pas pour les anniversaires, pas pour discutailler avec un enfant. Et pourtant, petit à petit, il va s’intégrer à leur vie… jusqu’à ce que le défunt mari revienne d’entre les morts… oups.
Ça commence en comédie, ça continue en comédie romantique, ça bascule enfin dans le fantastique… faut s’accrocher au niveau transition, qui peut étonner quand on ne s’y attend pas (je ne m’y attendais pas), je regrette juste quelques longueurs au milieu du film, je l’avoue.
Les âmes de papier (joli titre déjà) est l’un de mes coups de cœur de ce 28e FIFF, car il jongle avec du bon humour, de l’amour juste ce qu’il faut, un enfant tout mignon, de l’étrange. On dirait un roman de Musso, version livre…
Très bon moment, et Pierre Richard est fabuleux en ermite chercheur de paperasse hystérique alcoolique sur les bords.
Voilà un autre endroit que je veux voir, après les Nymphéas, ce pont aux cadenas :