Magazine Journal intime

FIFF – Gare du Nord

Publié le 04 octobre 2013 par Anaïs Valente

J’ai voulu voir Gare du Nord par curiosité, car j’aime bien cette gare parisienne, synonyme pour moi de bons moments à venir. Paraît qu’elle a une sale réputation, qu’elle est dangereuse. Ce film est mi-documentaire, mi-fiction, d’après les notes reçues, mais j’ai eu du mal à percevoir la nuance (et je me demande si la partie documentaire n’est pas présentée séparément, va savoir – et non, j’ai pas dormi).

J’hésitais, sachant que Nicole Garcia y tenait un des rôles principaux. Nicole Garcia, pour moi, c’est comme Isabelle Huppert : de très bonnes actrices, mais souvent dans des films qui pour moi sont soporifiques.

Mais j’ai tenté le coup, et j’ai pas été déçue. Comme dans Tokyo anyway, il ne se passe pas grand-chose, sinon des tranches de vies, mais qui ont toute leur importance. Et je ne me suis pas ennuyée, prise par l’histoire d’amour qui est la trame de fond de l’histoire, avec, je l’ignorais, la présence de François Damiens en cadeau bonus, qui incarne un personnage inquiet, mais avec quelques moments bien drôles.

L’histoire d’amour donc, entre Mathilde et Ismaël, elle est belle, malgré la mocheté relative des lieux, elle prend aux tripes, elle remue. Elle m’a remuée, en tout cas. Et je ne regarderai plus la Gare du Nord du même œil, désormais… (ça tombe bien, dans huit jours, j’y suis).

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J’ai voulu voir Gare du Nord par curiosité, car j’aime bien cette gare parisienne, synonyme pour moi de bons moments à venir. Paraît qu’elle a une sale réputation, qu’elle est dangereuse. Ce film est mi-documentaire, mi-fiction, d’après les notes reçues, mais j’ai eu du mal à percevoir la nuance (et je me demande si la partie documentaire n’est pas présentée séparément, va savoir – et non, j’ai pas dormi).

J’hésitais, sachant que Nicole Garcia y tenait un des rôles principaux. Nicole Garcia, pour moi, c’est comme Isabelle Huppert : de très bonnes actrices, mais souvent dans des films qui pour moi sont soporifiques.

Mais j’ai tenté le coup, et j’ai pas été déçue. Comme dans Tokyo anyway, il ne se passe pas grand-chose, sinon des tranches de vies, mais qui ont toute leur importance. Et je ne me suis pas ennuyée, prise par l’histoire d’amour qui est la trame de fond de l’histoire, avec, je l’ignorais, la présence de François Damiens en cadeau bonus, qui incarne un personnage inquiet, mais avec quelques moments bien drôles.

L’histoire d’amour donc, entre Mathilde et Ismaël, elle est belle, malgré la mocheté relative des lieux, elle prend aux tripes, elle remue. Elle m’a remuée, en tout cas. Et je ne regarderai plus la Gare du Nord du même œil, désormais… (ça tombe bien, dans huit jours, j’y suis).

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