Ah, les frères musulmans ! Avec eux c’est : le pouvoir ou rien, je te tue et je reste en vie; la démocratie, je fais d’elle une théocratie, j’ai été élu et je fais une politique partiale. C’est ce qui se passe en Égypte. Des attaques ont visé lundi 7 octobre la police et l’armée en faisant sept morts, tandis qu’un important centre satellitaire a été touché par des tirs de roquettes au Caire, au lendemain de manifestations meurtrières.
Cinq soldats ont été tués à Ismaïliya (nord), où des groupes islamistes ciblent fréquemment les forces de sécurité depuis que l’armée a destitué et arrêté le 3 juillet Mohamed Morsi, premier chef de l’Etat élu démocratiquement en Égypte. Il est grand temps d’identifier ces troubles-fêtes et les éradiquer. C’est la seule solution à la paix en Égypte, faire comme à l’algérienne sinon, avec ces extrémistes, le pays va au devant de nombreux ennuies.
Dans la péninsule du Sinaï, deux personnes ont été tuées dans un autre attentat à la voiture piégée devant un commissariat de police. Le véhicule avait été garé devant l’entrée principale du commissariat d’Al-Tur, dans le sud de la péninsule où les groupes islamistes sont également très actifs. Puisqu’ils sont prêts à mourir pour des causes aussi injustes que folles, il faut les aider à partir plus vite.
Dans la capitale, Le Caire, plusieurs roquettes tirées par des inconnus ont endommagé une gigantesque antenne de communication satellitaire. Ces tirs visaient un regroupement de plusieurs antennes dans le quartier huppé de Maadi, et l’une des roquettes a troué l’une d’elle qui sert à relayer les communications téléphoniques internationales. Après, ils diront qu’on les tuent dans le silence le plus total.
Ces gentils frères, ce sont les mêmes qui tuent en Syrie. Pas de quartier pour les terroristes !