Mes vacances en lorraine (7)

Publié le 11 octobre 2013 par Elisabeth Leroy

Ceci est la dernière note de la série concernant mes vacances en Alsace et Lorraine.

Jeudi 12 septembre nous nous sommes arrêtés à la Butte de VAUQUOIS où le village a été entièrement détruit pendant les 4 années de combat (1914-1918). Il ne reste que de gros cratères coupant le sommet de la butte. Le lieu sera classé en Zone Rouge après la guerre (munitions et cadavres sous le site). Un nouveau village est reconstruit au pied de cette butte et un monument en hommage aux combattants et morts de Vauquois est réalisé en 1925.

Nous avons ensuite visité le cimetière militaire de VAUQUOIS.

 

Nous avons repris la route vers DOUAUMONT pour visiter l'ossuaire.

L'ossuaire de DOUAUMONT est une nécropole créée après la bataille de VERDUN. Elle abrite un cloître long de près de 137 mètres avec des tombeaux d'environ 130 000 soldats inconnus allemands et français. En face de cet ossuaire se trouve un cimetière de 16 142 tombes individuelles de soldats français dont un carré de 592 soldats musulmans de l'empire colonial.

Un ossuaire provisoire avait été construit entre 1920 et 1927.

L'ossuaire actuel en béton a été inauguré le 7 août 1932 par Albert LEBRUN, Président de la République à l'époque.

La Tour des Morts, haute de 46 mètres, offre à son sommet une vue panoramique sur les champs de bataille. Le bourdon de la Victoire résonne aux cérémonies importantes et le phare (lanterne des morts) rayonne sur le champ de bataille.

Au 1er étage se trouve le musée de guerre qui comporte des reliques des villages détruits, des vues stéréoscopiques en relief du champ de bataille ainsi que de nombreuses armes.

 

Plus loin, nous nous sommes arrêtés devant le Mémorial de VERDUN à Fleury devant Douaumont, créé en 1967 à l'initiative du Comité National du Souvenir de Verdun, sous l"égide de l'académicien et ancien combattant, Maurice GENEVOIX.

Une collection de nombreux objets personnels découverts dans les tranchées y évoquent la vie quotidienne et le martyre des hommes pendant la Première Guerre Mondiale.

Le Mémorial de VERDUN était fermé pour cause de travaux. Cependant, nous avons pu photographier les canons de 75 exposés devant le Mémorial.

Ceci est la dernière note de la série concernant mes vacances en Alsace et Lorraine.

Jeudi 12 septembre nous nous sommes arrêtés à la Butte de VAUQUOIS où le village a été entièrement détruit pendant les 4 années de combat (1914-1918). Il ne reste que de gros cratères coupant le sommet de la butte. Le lieu sera classé en Zone Rouge après la guerre (munitions et cadavres sous le site). Un nouveau village est reconstruit au pied de cette butte et un monument en hommage aux combattants et morts de Vauquois est réalisé en 1925.

Nous avons ensuite visité le cimetière militaire de VAUQUOIS.

 

Nous avons repris la route vers DOUAUMONT pour visiter l'ossuaire.

L'ossuaire de DOUAUMONT est une nécropole créée après la bataille de VERDUN. Elle abrite un cloître long de près de 137 mètres avec des tombeaux d'environ 130 000 soldats inconnus allemands et français. En face de cet ossuaire se trouve un cimetière de 16 142 tombes individuelles de soldats français dont un carré de 592 soldats musulmans de l'empire colonial.

Un ossuaire provisoire avait été construit entre 1920 et 1927.

L'ossuaire actuel en béton a été inauguré le 7 août 1932 par Albert LEBRUN, Président de la République à l'époque.

La Tour des Morts, haute de 46 mètres, offre à son sommet une vue panoramique sur les champs de bataille. Le bourdon de la Victoire résonne aux cérémonies importantes et le phare (lanterne des morts) rayonne sur le champ de bataille.

Au 1er étage se trouve le musée de guerre qui comporte des reliques des villages détruits, des vues stéréoscopiques en relief du champ de bataille ainsi que de nombreuses armes.

 

Plus loin, nous nous sommes arrêtés devant le Mémorial de VERDUN à Fleury devant Douaumont, créé en 1967 à l'initiative du Comité National du Souvenir de Verdun, sous l"égide de l'académicien et ancien combattant, Maurice GENEVOIX.

Une collection de nombreux objets personnels découverts dans les tranchées y évoquent la vie quotidienne et le martyre des hommes pendant la Première Guerre Mondiale.

Le Mémorial de VERDUN était fermé pour cause de travaux. Cependant, nous avons pu photographier les canons de 75 exposés devant le Mémorial.