L’accord conclu récemment en Syrie était une initiative positive en vue d’éliminer l’arsenal chimique interdit du champ de bataille, mais ne doit pas nous faire perdre de vue l’extrême gravité de la crise des droits humains qui sévit dans le pays.
Personne n’a encore été tenu pour responsable des crimes de guerre qui sont commis en Syrie, y compris les terribles attaques à l’arme chimique. Les armes classiques continuent d’être utilisées pour perpétrer des atrocités de masse. L’annonce faite aujourd’hui doit inciter la communauté internationale à mettre un terme aux violations massives en Syrie et à mettre en œuvre l’obligation de rendre des comptes pour les crimes de guerre imputables à toutes les parties au conflit." Les semaines du 27 septembre au 10 octobre courant ont enregistré un peu plus de dix pillages...