POURPRE
Les morts sentent-ils encore
Le blond désir des tilleuls
La houle des œillets roses
Qui enchantait les allées
Non l’âme ne peut pas perdre
La beauté que tu révèles
Ton sang se teint dans la vigne
De la pourpre qu’elle aimait
Gérard Bocholier in Couleurs, Lumière, Thαumα, Revue de Philosophie et de Poésie, n°11, La Compagnie des Argonautes, septembre 2013, page 115.
GÉRARD BOCHOLIER
■ Voir aussi ▼
→ (sur le site de la mél, Maison des écrivains et de la littérature) <une bio-bibliographie de Gérard Bocholier
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