Magazine Journal intime

bilan d'une fin de semaine mi-figue mi-raisin

Publié le 05 mai 2008 par Aubergda
Le premier pont du mois de mai vient de passer et grand dieu je suis encore en vie. Rien de très impressionnant dans ce fait, si ce n'est que j'aurais pu attraper trois ou quatre maladie mortelle, mourir d'ennui, faire exploser mon cerveau après m'être poser trop de questions. Bref, je crois qu'en fin de compte la crise des ménages ou plutôt des méninges m'a atteint également...et moi qui me croyais invincible...mais j'ai survécu. Faisons donc le bilan:
- Je me suis enfin prouvé à moi-même que je suis en mode chien: désolé une fois de plus de ramener ça sur le tapis, mais je finirai en enfer c'est sûr. Pas un, ni deux, mais trois personnes comme partenaires sexuels dans le même week end, mes hormones bouillonnent. Jalousie des uns, dégoût des autres, incompréhension des derniers. Heureusement que nous sommes passés au petit capuchon en plastique, quand on sait qu'avant il utilisait des tripes en guise de capotes ça me tue. Sinon fier de ce succès, j'ai été déçu d'apprendre qu'une personne proche s'est démenée tout le mois d'avril et a fait neuf conquêtes, je ne vendrai pas cette personne, son titre de noblesse me le défend.
- J'ai trouvé la solution à tous les problèmes existentiels de la vie. Ecouter de la musique... je parle bien de musique et non de tecktonik (qui se font plus rares j'ai remarqué, mon gang de grand mère est passé à l'action je crois). Depuis que j'entends les gens se plaindre, geindre et pleurnicher, je ne fais que penser à la chanson de la Rue Ketanou, la Chance (chanson que j'ai mis sous le titre). Et hop, comme il le disent si bien..."La chance ne sourit pas à ceux qui lui font la gueule".
Je ne pousse pas de coup de gueule ? J'ai pas réussi à m'énerver ce week-end, sûrement grâce à la radieuse présence de Râ dans le ciel parisien. Seule fausse note du week-end, j'ai voulu jouer à stériliser des couverts trouvés dans la rue...résultat: ils ont tous fondus dans l'eau chaude et ça puait dans tout l'apart... ce qui m'a voulu une petite tête de ma chère coloc.
Oui, je sais, tu te fous complètement de savoir ce qu'il se passe dans ma vie. Mais j'avais envie de partager avec toi un instant de bonheur. te fais pas de soucis, je sens poindre la méchanceté dans mon hypothalamus, peu-être parce que Gayrom is bakc in town.

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