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Les mots nouveaux…

Publié le 23 octobre 2013 par Observatoiredumensonge

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  Les mots nouveaux…

Par Alexandre Goldfarb

Bon puisque personne ne s’y colle, il faut bien signaler les mots nouveaux…

Une remarque en préliminaire :

Cela rappelle immanquablement le triste National-socialisme

Avertissement :
Toutes ressemblances avec un parti français au pouvoir, connu par deux initiales, les 15ème et 18éme lettres de l’alphabet, ne seraient pas une coïncidence.

Les mots nouveaux ne sont pas bleus mais bien rouges…

On ne dit plus un prisonnier mais un VRP visiteur régulier de prison. Oui parce que Madame Taubira est en train de vider les prisons.

On ne dit plus un infirme mais un handicapé, ce qui en fait ne fait pas de différence car la personne souffre quand même…

On ne dit plus un mariage homo mais un mariage pour tous. Mais ne faîtes pas comme Alain Delon devenu tricard pour avoir oser dire qu’une relation entre hommes était contre nature. Ce n’est pas bien, dîtes : t’as vu les deux mecs se roulent une pelle, c’est beau l’amour…

On ne dit plus un vieux mais une personne du troisième âge, bientôt il faudra dire du 4ème âge. A suivre de près au cas où on passerait au 5ème

On ne dit plus un clandestin mais un sans papier. De grâce, soyez branchés !

Bien que la personne soit normalement indésirable, et vous l’avez vu et compris avec la gamine de 15 ans, Leonarda, la France reste une terre d’accueil, bientôt sainte et coranique… Si tu n’es pas Français, tu peux cracher, insulter, blasphémer, voler, etc. et c’est quasiment sans risques, tu seras en plus gracieusement filmé et soutenu par les médias dogmatiques et ringards. Si tu es Français, un conseil : gares bien ta voiture et mets des pièces pour ton stationnement car sinon tu enfreins gravement la loi et tu risques d’être sévèrement puni.

On ne dit plus prison, merci qui ? Merci Christiane Taubira ! Mais maison de repos et de remise en forme pour futurs grands délinquants.

On ne dit plus mou mais Hollande le Roi Mou.

On ne dit plus faire la guerre mais mission de délivrance et de soutien aux islamistes en difficulté.

On ne dit plus Sarkozy va utiliser son Karcher mais Valls va tout dégommer (en parole car Valls à deux temps : un temps pour parler et un temps pour ne rien faire).

On ne dit plus en situation irrégulière mais bienvenue au camping France.

On ne dit plus école laïque ce qui est vraiment désuet mais apprendre le catéchisme marxiste pour mieux évoluer socialement dans un monde égalitaire et apaisé et rassemblé et… Tu l’as dans le C..

On ne dit plus je me shoote mais je vais me faire une piquouze au bar du coin.

On ne dit plus une insulte (prononcée par un qui n’est pas socialiste)  mais un dérapage. Le contraire n’est pas vrai. Exemple Bedos ou un élu socialiste traite quelqu’une de « salope et conasse » c’est de l’information. Mais quand un de l’opposition caquète contre une élue écologiste c’est un dérapage.

On ne dit plus l’immigration mais la diversité.

On ne dit plus être à droite ou de droite mais se droitiser, à ne pas confondre avec se tenir droit.

On ne dit plus « je suis Français » mais franco-français ce qui sous entend quand même que ceux de la diversité ne seraient que « franco » ou « français » mais pas les deux : trop drôle !.

On ne dit plus concierge, métier disparu, mais régisseur d’immeuble donc fin aussi de l’appellation « pipelet ».

On ne dit plus grande fortune, terme obsolète dans la société ULTRALIGHT© mais riche ou personne qui n’a pas le droit de l’être au nom de la haine, sentiment officiel du moment et prôné par tous pour tous.

On ne dit plus une femme violée, surtout dans les pays islamistes, mais atteinte aux bonnes mœurs.

On ne dit plus voter NON mais être « noniste » (terme inexistant bien sûr dans nos dictionnaires).

On ne dit plus « hausse du chômage et plans sociaux » mais « j’ai vu la reprise économique », pas de preuves pourtant, et c’est repris par toute la classe politique quasiment et tous les médias…

On ne dit plus « quelle pression fiscale » mais « c’est la pause » et tout le monde morfle…

On ne dit plus faire de la politique mais apprendre à mentir.

On ne dit plus « c’est vrai » mais la télé l’a dit…

Une que j’aime bien : quand la gauche vilipende et professe la haine du Sarkozy, c’est bien entendu de l’information (il ne faut pas rire avec cela, c’est du sérieux) mais quand un grand couturier Karl Lagerfeld dit qu’Hollande est mauvais, cela devient alors « un coup de folie » du couturier.

Et celle-ci : « l’opposition syrienne est reconnue par les pays du Golfe »… Là obligé de rire car ce sont lesdits pays du Golfe qui arment et soutiennent ladite opposition syrienne. Faut surtout pas se gêner, non mais !

Une fusillade devient une bagarre par balles (entendu sur TF1).

Un acte de délinquance est une bêtise.

Un quartier d’immigrés devient un quartier populaire à ne pas confondre avec populiste réservé aux français très à droite.

On ne dit plus « tiens une émeute » mais « des incidents ont eu lieu ».

Une magnifique : quand Moody’s dégrade le 3A de la France, le sinistre des finances, Pierre Moscovici, déclare sobrement : c’est la faute à Sarkozy et les médias lui emboitent le pas immédiatement. Sauf que la note est donnée pour les perspectives économiques de la France établies justement par le sinistre Moscovici….

Et la meilleure :
Je ne citerai ici aucun nom car cela franchement m’ennuierait de leur faire une quelconque publicité à ces mauvais perdants.
Telle d’écrire que et je cite « Au début de la séquence électorale, en 1998, la participation est forte, permettant aux candidats de gauche, de la droite et du FN de se maintenir en triangulaire à deux reprises. Le seuil de 12,5 % des inscrits est effectivement atteint par le Front National, qui arrive alors chaque fois en 3e position. Nous sommes dans à une époque pendant laquelle l’opposition à Nicolas Sarkozy est très forte, mais la gauche apparait alors comme une alternative sérieuse au pouvoir exécutif contesté. »
Je reste vraiment abasourdi car en 1998 Sarkozy n’était pas au gouvernement mais c’était celui de Jospin, Premier Ministre de Chirac (Juin 1997 à juin 2002).

Et c’est publié et repris bien entendu partout. En plus c’est même répété c’est dire le niveau actuel.

Enfin on dit plus décision ou décider mais « tu peux revenir toute seule » en France.

Pour finir on ne dit surtout pas « j’aime mon pays la France » mais « je suis un affreux raciste ».

Bon, moi là j’ai un problème car je n’arrive pas à faire comprendre à mon chien, qu’ici en France terre d’asile et d’aliénés, il est devenu un chat…
En plus mon chien qui n’est pas du tout socialiste, là c’est grave… je risque d’être tricard !

En annexe :
Une excellente phrase de François Hollande en 1996, alors porte-parole du PS : « Si nous allons trop loin dans l’utopie, nous nous heurterons à la réalité. »
 Il a du lire avant de prononcer cette phrase :
Tout l’art de la guerre est basé sur la duperie.
(Sun Tzu)

Conclusion : on ne dit plus mentir mais « m’en tire©«  car je suis socialiste.


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