Magazine Journal intime

Le blog d'un con damné, le retour...

Publié le 27 octobre 2013 par Anaïs Valente

J'espérais ne plus jamais en entendre parler, et puis me voilà rattrapée par mon destin...

En cherchant sur google à "agenda nanowrimo", histoire de trouver un joli mois de novembre à imprimer, pour y inscrire de mes jolis petits doigts l'avancée de mon projet que je qualifie d'ores et déjà de foireux, vlà que je tombe sur un article "le défi nanowrimo". Le nom de l'auteur me dit vaguement quelque chose. Et en cliquant, sa photo me dit grandement quelque chose : le con damné ressurgit d'un coup dans ma vie, avec cette bouffée de souvenirs de toutes les conneries qu'il a débitées sur son blog, même que tout le monde le croyait. Souvenez-vous, le con damné a fait croire qu'il était condamné, et nous avons subi ses râles d'agonie, ses délires sur des forums consacrés au deuil et autres choses ignobles, durant un mois, dans le seul but de se faire du fric en vendant un livre sorti lors de sa résurrection.

Bon, le con damné va faire le nanowrimo.

Bon, ben c'est ainsi hein.

Et puis je lis son article.

Et je me dis que c'est bien dommage qu'il n'ait pas été damné au sens premier du terme, passqu'en fait, ce qu'il veut, c'est faire du fric pour faire le nanowrimo.

Siiiiiiiiiiiiiiiii, je vous le jure. Vrai de chez vrai.

Je cite "Par tranche de 100€ reçue pour ce projet, je prendrai un jour de congé dédié entièrement à l’écriture."

Mais y'a un super cadeau en retour "En temps que supporter, vous aurez accès à une communauté privée". En temps que... euh, ça commence mal, pour un futur écrivain, je dis ça je dis rien. Oui, je sais, je suis mauvaise, mais j'ai vraiment du mal les agissements de ce personnages qui passe son temps à réclamer du flouze à son lectorat, juste pour lire le blog, car "son blog est payant mais vous êtes libres de choisir le prix".

Tiens, j'y avais pas pensé moi à ça, vous demander du fric tout le temps, et pour le nanowrimo. Car, s'il parvient à "conger" les trente jours que dure le nanowrimo, il empoche 3000 euros, comme ça, à ne rien faire sinon écrire.

Rassurez-moi, y'a quand même pas des pigeons qui vont payer ?

Ce mec était infâme y'a quelques mois, je vois qu'il n'a pas changé...

Et avec tout ça, j'ai pas trouvé mon agenda nanowrimo.

Par contre, je viens de me souviendre que quand j'étais en blocus, avec une copine étudiante, on s'était préparé des petits mots d'encouragement fermés, et chaque matin, avant de s'y mettre, on les lisait, ben c'était motivant.

Ditez, vous voulez pas m'envoyer des petits mots gratuits d'encouragement, car je stresse au point que je vais en faire un malaise cardiaque le 31 octobre je pense (ce qui tomberait bien, je serai à l'hôpital, tant qu'à tomber quasi raide morte, autant être sur place...)

J'espérais ne plus jamais en entendre parler, et puis me voilà rattrapée par mon destin...

En cherchant sur google à "agenda nanowrimo", histoire de trouver un joli mois de novembre à imprimer, pour y inscrire de mes jolis petits doigts l'avancée de mon projet que je qualifie d'ores et déjà de foireux, vlà que je tombe sur un article "le défi nanowrimo". Le nom de l'auteur me dit vaguement quelque chose. Et en cliquant, sa photo me dit grandement quelque chose : le con damné ressurgit d'un coup dans ma vie, avec cette bouffée de souvenirs de toutes les conneries qu'il a débitées sur son blog, même que tout le monde le croyait. Souvenez-vous, le con damné a fait croire qu'il était condamné, et nous avons subi ses râles d'agonie, ses délires sur des forums consacrés au deuil et autres choses ignobles, durant un mois, dans le seul but de se faire du fric en vendant un livre sorti lors de sa résurrection.

Bon, le con damné va faire le nanowrimo.

Bon, ben c'est ainsi hein.

Et puis je lis son article.

Et je me dis que c'est bien dommage qu'il n'ait pas été damné au sens premier du terme, passqu'en fait, ce qu'il veut, c'est faire du fric pour faire le nanowrimo.

Siiiiiiiiiiiiiiiii, je vous le jure. Vrai de chez vrai.

Je cite "Par tranche de 100€ reçue pour ce projet, je prendrai un jour de congé dédié entièrement à l’écriture."

Mais y'a un super cadeau en retour "En temps que supporter, vous aurez accès à une communauté privée". En temps que... euh, ça commence mal, pour un futur écrivain, je dis ça je dis rien. Oui, je sais, je suis mauvaise, mais j'ai vraiment du mal les agissements de ce personnages qui passe son temps à réclamer du flouze à son lectorat, juste pour lire le blog, car "son blog est payant mais vous êtes libres de choisir le prix".

Tiens, j'y avais pas pensé moi à ça, vous demander du fric tout le temps, et pour le nanowrimo. Car, s'il parvient à "conger" les trente jours que dure le nanowrimo, il empoche 3000 euros, comme ça, à ne rien faire sinon écrire.

Rassurez-moi, y'a quand même pas des pigeons qui vont payer ?

Ce mec était infâme y'a quelques mois, je vois qu'il n'a pas changé...

Et avec tout ça, j'ai pas trouvé mon agenda nanowrimo.

Par contre, je viens de me souviendre que quand j'étais en blocus, avec une copine étudiante, on s'était préparé des petits mots d'encouragement fermés, et chaque matin, avant de s'y mettre, on les lisait, ben c'était motivant.

Ditez, vous voulez pas m'envoyer des petits mots gratuits d'encouragement, car je stresse au point que je vais en faire un malaise cardiaque le 31 octobre je pense (ce qui tomberait bien, je serai à l'hôpital, tant qu'à tomber quasi raide morte, autant être sur place...)


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