Hors Mones, tuut tuuut

Publié le 06 mai 2008 par Aubergda
Chaque seconde de cette journée qui passe, je regarde par la fenêtre de mon bureau et j'espère que le soleil ne nous fera pas un enfant dans le dos, comme l'an dernier: "je te donne du sun en avril/mai et après je me casse en vacances"... Non monsieur, nous vous prions bien gentiment de vouloir rester à nos côtés encore quelques mois.
Mais comme toute bonne chose, il y a des revers à la médaille. Comme je l'ai toujours pensé, le printemps, le soleil et le pollen marquent le début de la période de chaleur pour l'espèce humaine (moi c'est le cas toute l'année, mais vous savez bien que je n'ai rien d'humain). Et là je dis malheur "MALHEUR" - voilà c'est dit, je vous ai pas pris en traître. Je me rends compte que certains ne prennent pas la peine de mettre du déodorant avant de partir au boulot, ce qui en soit n'est pas génant le matin, mais le soir par contre c'est une infection et c'est toujours dans ces moments que l'on regrette l'hiver, le froid et le rhume qui nous obstrue les narines. Mais il est choses plus grave encore, les PDA. Non je ne te parle pas de ton super ordinateur de poche, dont tu ne serts que de la fonction lecteur MP3 (comme moi). Je fais ici allusion au Public Display of Affection ou pour les abrutis Les démonstrations d'affection en public. Moi qui suis une personne pour qui la vie de couple a autant de valeur qu'une livraison de sushi, je supporte mal le spectacle de jeunes couple, ou encore pire de vieux, en train de se galocher avidement. Comment peut-on dans un monde aussi triste, afficher son bonheur au visage des autres. Ces personnes là pensent-elles aux veuves ? aux filles et garçons moches qui sont encore réduits à des plaisirs solitaire ?Il est donc grand temps que nous nous inspirions de l'Iran qui a compris depuis bien longtemps que le bonheur affiché en public des uns, fais le malheur des moches. Mais n'oublions pas que:

"Les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics, bancs publics, bancs publics en se foutant pas mal oblique des passants honnêtes....
Les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics, bancs publics, bancs publics,en se disant des "Je t'aime" pathétique ont des petites gueules bien sympathique" Charles Brassens

En mai FESSES QUI TE PLAIT....