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BRESIL 2014. EDF: N’en déplaise aux pisse-froid, les patriotes étaient sur le terrain

Publié le 20 novembre 2013 par Menye Alain
Mamadou Sakho

Mamadou Sakho

Ce n’est pas aux pisse-froid et casse-couilles qui ne connaissent rien au sport de s’exprimer ou de décider de la légitimité d’une victoire ou pas des Bleus. Malgré la victoire héroïque de l’équipe de France, hier, des esprits chagrins torturés et surtout dotés d’une haine viscérale des autres n’ont pas perdu leur latin. Ils osent encore s’exprimer aujourd’hui. Il suffit d’aller dans les réseaux sociaux pour voir suinter leur haine doublée de jalousie. Ce sont eux qui n’aiment pas la France, et non les joueurs. Les vrais supporters ont versé une larme…

La défaite est amère pour les détracteurs des Bleus. Obligés de ranger leur fiel au vestiaire et incapables de faire leur méa-culpa, certains justifient leurs sorties haineuses en "acte salutaire qui a permis aux Bleus de se sublimer". Quelle falsification ! Quant aux amateurs hystériques de la théorie du complot tout azimut, l’"Ukraine a vendu le match". Encore une réflexion au ras des pâquerettes qui prouve bien que ces gens ne connaissent rien au football. Pour tout l’or du monde, aucun joueur ne peut brader une participation à la Coupe du Monde.

Karim Benzema

Karim Benzema

Critiqué pour ses choix tactiques, par ces consultants de pacotille qui veulent faire l’équipe en imposant certains joueurs, Didier Deschamps a pris sa revanche, hier, mardi. Tout a fonctionné à merveille, au grand dam des clowns qui croyaient parler au nom de la France qu’ils ne connaissent que de leurs salons feutrés. Evra-ci, Evra-là, après le sondage RMC qui avait montré qu’il est plébiscité par les Français, les vrais, pas ceux qui s’autoproclament patriotes ou nationalistes, et n’ont pourtant, à part dégueuler,  jamais rien fait pour la France. Ces joueurs-là, eux, hissent très haut le drapeau bleu-blanc-rouge. Et leurs détracteurs ?

Les vrais nationalistes et patriotes étaient sur le terrain, dans les tribunes, aussi, et non ailleurs…Après la rencontre, ils se sont déplacés en masse sur les Champs-Elysées. "Je ne me reconnais pas dans cette équipe m’a dit un collègue!". Je lui ai retorqué qu’il ne pouvait rien changer et lui ai conseillé le suicide car, personne ne peut arrêter l’évolution ou le temps. In fine, qu’ils aillent au diable tous ces autoproclamés !


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