de la charité 4-LXVI
Publié le 09 mai 2008 par Moinillon
Bien de ce que Dieu a mis à notre usage n'est proscrit
par l'Écriture : elle se contente de réprimer l'excès, de corriger le
déraisonnable. Ainsi elle ne défend pas de manger, de procréer des enfants,
d'avoir de la fortune et de l'administrer convenablement, mais bien d'être
gourmand, débauché et le reste… Pas davantage, elle n'interdit de penser à ces
choses — elles sont faites pour qu'on y pense — mais d'y penser avec
passion.
Maxime le Confesseur : Quatrième
centurie