Je suis un homme (au naturel, en somme)

Publié le 09 mai 2008 par Nicolas J
Une espèce de folie s’est emparée de la blogosphère politique hier. J’ai vu ça à partir du billet de Laurent. J’ai ensuite été tagué par Lancelot, pris à parti par Marc et Maxime. Où il y a de la chaîne, il n'y a pas de plaisir !
Bien qu’ayant absolument horreur de ce genre de truc, j’ai absolument horreur de ce genre de truc. Est-ce que je trouve tous les prétextes possibles pour citer les copains, moi ?
Je vais néanmoins répondre à Lancelot dans un large esprit d’ouverture avec le Modem.
Mon fond de teint : Kronembourg ordinaire à la pression, 1664 les jours de fête.
Un mascara : derrière mes lunettes, vous n’y pensez pas ?
Une crème de jour : aujourd’hui, crème renversée.
Une marque de produits : Kronembourg
Ma marque fétiche de maquillage : eau du robinet.
Un produit must : ça veut dire quoi, must ?
Mon parfum : Fleur de Lisier.
Mon magazine fétiche : Le Kremlinois.
Tu pars sur une île déserte et tu emportes quoi (trois produits max, sans protection solaire ni rasoir) : une tireuse de bière, une choppe, un sous-bock.
La femme que tu admires pour sa beauté : Toutes. A mon âge, célibataire, faut pas être regardant.
La femme dont tu envies le look : les patronnes de bistros.
Je me damnerais pour : arrêter l’heure légale des bistros au Kremlin-Bicêtre.
Que signifie pour toi la féminité : le tablier blanc de la serveuse de la Comète.
Un dernier mot : « Patron, une dernière tournée, c’est possible ? »
Ton adresse blog fashion/beauté préférée : http://tonnegrande973.blogspot.com
J’ai bon, là ?
I me faut maintenant trouver des gugusses qui n’ont pas encore répondu pour les taguer avec violence. Franssoit. François. Valery. Oh!91. Seville. Gael. Quicoulol. Dorham. Donatien. Homer. Didier B. Mtislav. Kesjendi. Antoine. Peuples. Farid. Pierre. MC. Olivier P. o16o. Martin P. Dominik. Benjii.
Voilà. 23 noms jetés en pâture. 29 liens dans le billet. Je suis épuisé. Et ce n’est pas demain que la blogosphère (surtout les blogs politiques) sortira de son machisme
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