La semaine dernière, l’Alliance générale contre la Racisme et pour le Respect de l’identité française (AGRIF), sortait victorieuse d’un procès contre la FRAC de Lorraine, qui finançait ses immondes perversions sur le dos du contribuable français. L’extrême gauche n’a pas tardé à réagir, par les Inrocks et Médiapart, provoquant une réaction de Bernard Antony.
Un extrait de l’Infamille
La FRAC de Lorraine avait donc financé par les impôts des français suffoquants (vous savez, cet « effort national que tous doivent partager en période de crise») à hauteur de 700 000 euros (!) une exposition des plus immonde, intitulée l’«Infamille». On y avoyait beaucoup d’images dégradantes, à la vue de tous, et ce genre d’inscriptions :
« Nous allons faire de vous nos putes… vous violer… vous sodomiser et vous crucifier… vous coudre le sexe… vous tuer par surprise… vous pendre et baiser vos cadavres… filmer votre mort… »
Avec son avocat Maitre Jérôme Triomphe, l’AGRIF avait porté plainte et gagné. Dans son jugement très motivé du 21 novembre 2013, le tribunal de Metz a constaté le caractère particulièrement violent des messages poursuivis constituant une atteinte très grave à la dignité humaine.
Il n’en fallait pas plus pour que l’extrême-gauche réagisse dans sa fange habituelle. Dans un blog de Médiapart, un responsable quelconque de l’opaque et surfinancée « ligue des droits de l’homme » se lance dans l’ad-hominem, marque de fabrique de la démocratie à gauche, et dit de l’AGRIF :
« Elle relève de la mouvance d’extrême-droite dont l’antiracisme s’exprime surtout par de l’islamophobie et, l’identité française et chrétienne, par les fantasmes d’une histoire inspirée des croisades et des conquêtes et des conquêtes coloniales où le Français est « toujours blanc » à l’intérieur comme à l’extérieur de son corps ».
Il n’en fallait pas plus, non plus, pour que Bernard Antony, Président de l’AGRIF et de Chrétienté-Solidarité, et par ailleurs contributeur pour Itinerarium, réagisse sur son blog personnel. Une réaction plutôt virile, à la mesure des attaques proférées. Bernard Antony voit dnas ce texte « une imputation gravement diffamatoire » et un « fourre-tout dialectique » avec l’utilisation de l’expression d’extrême-droite.
À propos des accusations d’islamophobie, il considère qu’avec « sa phobie de l’islamophobie, ce monsieur Bayer est un islamophile » et demande si la charte islamique des droits de l’homme d’Alija Izetbegovic est compatible avec la charte des Droits de l’homme française.
Bernard Antony finit : «Pour cela, nous enverrons dès demain notre droit de réponse à Mediapart.».
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