- Dites-donc, Madame Sable, une partie de la planète crève de faim, de soif, des gens couchent dehors, meurent de froid, faute de logement.
Il y a la guerre, les épidémies, les réfugiés, les expulsés, les torturés, et vous, face à tant de misère, vous osez pleurer la mort d’un chat ! ? -
- eh bien oui, parfaitement, j’ose !
Raghnarok c’était mon pote.
C’était surtout le copain, le confident, l’ami, le gros chat tout doux de " La Ronce ", et je suis aussi profondément triste pour elle.
Vole, mon Rag, vole, la caresse du vent léger dans ta fourrure, sois libre et heureux au royaume des chats gentils, des rêves multicolores et des herbes folles.
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