Brésil, un géant de près de 200 millions d'habitants, un des pays émergents qui ont toutes les chances de compter de plus en plus.Son Amazonie et le réseau fluvial qui va avec, lui donnent aussi une importante tranquillité économique pour sa production électrique actuelle et largement à venir.
Il faut ajouter le développement récent du la prospection pétrolière et gazière off-shore, fort prometteuse.
Malgré cela, une petite production d’électricité nucléaire est en place et se développe un peu.
Le président de l'exploitant affirme : « qu'il estime utile de développer la production d'origine nucléaire, bien que sa vocation soit de rester marginale. 3% de l'offre actuellement et 4% prévu avec les sites en construction »
Pourquoi donc développer cette filière, dont il affirme que les coûts sont très élevés et qu'elle ne peut que rester marginale ?
On peut lire un peu plus loin dans ses déclarations que « le Brésil aspire à devenir un exportateur de combustible nucléaire et à construire 4 à 8 nouvelles centrales (2 sont aujourd'hui en service et une troisième est en construction) d'ici 2030. Leurs études ont identifié 40 lieux pour placer ces exportations »
Le Brésil d'aujourd'hui n'est pas la Corée du Nord, mais cette prolifération chez un tel géant n'est pas plus rassurante pour autant.
C'est nettement moins sympa que la Samba et les grands musiciens.
Jorge
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