Alors que la sardine reste bien à l'abri dans son récif virtuel (mot portugais arracefe, arrecife /recife, de l'arabe الرصيف ar-rasîf "chaussée, digue"), d'autre s'en vont braver les embruns de la corniche concarnoise... photos de notre reporter intrépide: Jean-Michel Robert.
pour retrouver à la nuit tombée une Ville-Close parée de ses atours de fête.
En 1924, une décoration très avant-gardiste (si l'on se réfère au M d'une firme de fast food, à moins que ce ne soit l'emblème du Marin Masqué ou du Maquereau Moutarde) apparait sur les remparts en arrière plan du peintre Pierre Savigny de Belay.
Bonne Année à Vous lecteurs des Quat'Sardines !