Magie Funeste VS Universalisme

Publié le 08 janvier 2014 par Hugues-André Serres

Magie Funeste VS Universalisme

« Éveille un être humain et il t’enterre, enterre le et il te libère. » Pourquoi ? Quatre-vingt-dix-neuf pour cent des personnes vivent enchaînées, dépendant d’un système qui fait d’eux des esclaves. Essaye de libérer leurs esprits et ils iront jusqu’à se battre pour défendre ce semblant d’illusion qui fait pourtant d’eux des Esclaves !

Il est plus simple de vivre sous le joug et la domination d’autrui (Le Diable), que libre sous son propre pouvoir. (L’esprit) L’instinct de Survie est la résultante universelle d’une désobéissance civile face aux injustices. C’est en assumant et en contrôlant sa peur grâce au Courage que l’on découvre sa Voie et sa Mission sur cette Terre.

L’ordo ab chaos est le contrôle des âmes par la terreur. La violence aveugle, la répression, le mensonge sont l’outil idéal du pouvoir pour enterrer vivant les êtres par la peur. (Dictature) Le besoin réconfortant de plus de sécurité de la population stupide (Qui ne pense pas) assure ta liberté au détriment de la leur. Voilà comment agit le système avec l’aide de tes amis les médias. L’insécurité se traduit toujours par son contraire qui est : Plus de Sécurité ! Or lorsqu’il y a plus de sécurité, il y a moins de liberté. Et lorsqu’il y a moins de liberté ton pouvoir est plus fort François. N’est-ce pas ce qu’à fait Hitler ?

Peuple : Comment Résister et Reprendre le Pouvoir sur Nos Vies ?

De deux façons, la première par la quenelle. La seconde par le poisson d’avril !

Oups, non … Ce n’est pas une Quenelle mais bien un Salut Nazi
Mais que fait Mrs Valls, Hollande le Gouvernement … ?

Mais qu’est-ce qu’il raconte … ?

Le poisson d’avril n’est pas un vrai poisson, ça tout le monde le sait. Ce qui se traduit en terme de résistance par le subterfuge ou code suivant : « L’esprit des français parle à l’esprit des français ». Après déchiffrage, cela donne : « A toutes celles et tous ceux qui ont encore de l’Esprit  »

Le Coche et la Mouche – Jean de LA FONTAINE (1621-1695)

Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au Soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un Coche.

Femmes, Moine, vieillards, tout était descendu.
L‘attelage suait, soufflait, était rendu.

Une Mouche survient, et des chevaux s’approche ;
Prétend les animer par son bourdonnement ;
Pique l’un, pique l’autre, et pense à tout moment
Qu’elle fait aller la machine,
S‘assied sur le timon, sur le nez du Cocher ;
Aussitôt que le char chemine,
Et qu’elle voit les gens marcher,
Elle s’en attribue uniquement la gloire ;
Va, vient, fait l’empressée ; il semble que ce soit
Un Sergent de bataille allant en chaque endroit
Faire avancer ses gens, et hâter la victoire.

La Mouche en ce commun besoin
Se plaint qu’elle agit seule, et qu’elle a tout le soin ;
Qu’aucun n’aide aux chevaux à se tirer d’affaire.

Le Moine disait son Bréviaire ;
Il prenait bien son temps ! une femme chantait ;
C‘était bien de chansons qu’alors il s’agissait !

Dame Mouche s’en va chanter à leurs oreilles,
Et fait cent sottises pareilles.

Après bien du travail le Coche arrive au haut.

Respirons maintenant, dit la Mouche aussitôt :
J‘ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.

Ça, Messieurs les Chevaux, payez-moi de ma peine.

Ainsi certaines gens, faisant les empressés,
S‘introduisent dans les affaires :

Ils font partout les nécessaires,
Et, partout importuns, devraient être chassés.

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