Il paraîtrait....

Publié le 13 janvier 2014 par Ericguillotte
lundi 13 janvier 2014

- que l'ensemble de la population Britannique consomme en tout plus de 160 millions de tasses de thé par jour. Un anglais boit 3,5 tasses par jour. Pourquoi ne termine-t-il pas la quatrième ? C’est étrange. Et tout ce thé explique-t-il cela ? Car, il ne faut pas se mentir, les anglais sont bien ceci et surtout cela. Loin de moi l’idée de leur reprocher. Déjà que je ne cite rien de leurs particularismes, je loue bien au contraire leurs particularités, autant que celles des autres populations d'ailleurs. Je ne serai pas le genre à demander à un anglais, ton thé t’a-t-il ôté ta toux, car je ne me mêlerai de l’expectoration de quiconque sur ce globe. Tout ça pour dire ? Peut-être rien, peut-être plus ? Celui qui lit est toujours plus fort que celui qui écrit, car c’est lui qui décide ce qu’il a lu.

- que le vin est considéré comme l'un des plus anciens produits alimentaires élaboré par l'homme. On a découvert, en Iran, des amphores portant des traces de vin de plus de 7000 ans. Dieu se démène, crée le monde en 6 jours pétants, propose faune et flore en abondance. L’information est certaine, je l’ai lue dans Closer. Et que fait l’homme à peine sur ses deux pieds ? Il concocte un produit avec les matières premières fournies pour raconter des conneries coudes au bar, ou aux branches basses sans doute à l’époque. Tout ça pour dire ? Peut-être rien, peut-être plus ? Celui qui lit est toujours plus fort que celui qui écrit, car c’est lui qui décide ce qu’il a lu.

- que le blé est la céréale la plus échangée dans le monde. Ça, apprendre que la majorité du peuple veut du blé, ça n’étonnera aucun sensible de la polysémie. Et les échanges, Henri, en riz ? Nombreux itou. Est-ce qu’on en rit ? Sûrement, si c’est drôle. Mais le maïs n’est pas en reste, du reste, affichant crânement son tréma, signe diacritique que la critique n’atteint que lorsqu’elle met les points sur les i. Tout ça pour dire ? Peut-être rien, peut-être plus ? Celui qui lit est toujours plus fort que celui qui écrit, car c’est lui qui décide ce qu’il a lu.