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Pomme, poire, banane et quenelle

Publié le 13 janvier 2014 par Observatoiredumensonge

Poire, pomme, banane et quenelle.

La quenelle, j’aime bien la manger mais je trouve que là on n’en parle un peu trop. Elle devient indigeste.
La vérité c’est que pendant que ce gouvernement prend les Français pour des pommes ou des poires, en ne parlant plus que de bananes et de quenelles, il ne fait plus rien.

La gauche est bien la gauche caviar et la droite hélas est bien la droite camembert.
La gauche parle, la droite se tait…
Mon conseil : vous voulez monter un spectacle alors prenez Valls comme attaché de presse…
Prenez les deux affaires qui secouent la France et qui sont pitoyables, la première est celle d’un ancien humoriste reconverti dans la haine, la seconde est l’affaire de cul du Président, les deux sont dignes du caniveau où elles auraient du rester.
Le plus drôle pour l’affaire des frasques présidentielles c’est qu’elles ont eu lieu dans une rue de Paris au nom prédestiné : rue du Cirque !
Il faudra un jour nous expliquer pourquoi le Président pour se rendre rue du Cirque à Paris 8ème, à quelques dizaines de mètres de l’Elysée, aurait pris un scooter pour s’y rendre ?
Valoche peut faire sa valoche.
Par contre notre Président, qui avait tant critiqué Sarko pour ses fréquentations, a quand même accepté l’appartement de Pinault comme quoi l’argent n’a plus d’odeur… Et les médias y font quoi ? Ils se taisent bien sûr. On ne peut pas reprocher à un de gauche ce qui était mal vu pour un de droite… pourtant c’est pareil.
La désinformation est partout dans ce pays.
Le moindre média peut raconter n’importe quoi sans crainte d’être contredit.
La technique est éprouvée: TOUT BANALISER pour détourner des problèmes.
La vérité dérange comme toujours.
Alors au lieu que ce gouvernement et quelques autres se soient transformés en attachés de presse, qui ont bien travaillé, d’un pseudo comique raciste et franchement insignifiant, il eut mieux valu de continuer à l’ignorer.
Au lieu d’avoir un Président qui sort la nuit, on aurait préféré qu’il œuvre pour les Français. Mais non, il ne sait que taxer et rien d’autre.
Comme la banane n’a pas eu de succès et que nous sommes à quelques semaines d’une élection qui devrait normalement voir la déroute des socialistes, il fallait vite trouver un autre produit et c’est la quenelle qui a gagné.
La démocratie, elle a perdu. Mais cela on le savait déjà puisque cela fait 40 ans que la démocratie est perdue.
L’affaire Dieudonné est une non affaire mais c’est un écran de fumée dressé pour nous cacher la réalité d’une France qui perd sur tous les tableaux. Une France qui est en train de renoncer à des siècles d’histoire, une France en voie de dénationalisation, une France molle de bien pensants mais n’agissant plus.
Une France des pleutres et des pétochards, une France qui aime les perdants et jalouse les gagnants.
Cette France est amenée à disparaître au profit d’une autre société. Une société pourrie et injuste.
Une France où politiques et médias utilisent sans vergogne la langue de bois, où cette élite qui ne l’est plus est méprisante, hautaine et  ringarde mais qui profite de la passivité des Français.
Ce n’est pas pour rien que la désinformation fonctionne comme au temps du National-socialisme en inventant des mots nouveaux.
Que fait l’opposition ? Rien de rien, elle subit, elle se planque pour mieux se taire.

La solution est sous nos yeux pourtant.

 Parce que nos médias et nos politiques nous prennent pour des  pommes et des poires, Il faut descendre dans la rue et celles et ceux qui se réclament l’opposition doivent y être : celles et ceux qui ne seraient pas physiquement présents doivent être bannis. Ils ne méritent plus nos voix aux élections. Votons ! Eliminons !

Voilà le vrai critère pour en être ! C’est participer.
Tout le reste n’est que bons et faux sentiments, littérature et mensonges.

Nous avons le pouvoir, ne l’oubliez pas.
Notre premier pouvoir est le plus fort c’est notre bulletin de vote.
Les politiques le redoutent vraiment bien qu’ils sachent qu’en France les veaux râlent mais ne ruent pas.
Notre second pouvoir c’est de fermer la télé, ouvrir les yeux ! Celui-là est aussi très fort car nos médias qui nous désinforment ne vivent que par la publicité et pour certains par leurs abonnés.
Apprendre à ne pas les regarder, c’est facile et cela vous ne pourrez que le constater procure une intense satisfaction/
Ce n’est pas pour rien que le journal de 20 heures sur France 2 de Pujadas a perdu en 6 mois un million de téléspectateurs.
Alors à vous de jouer !

Si vous ne voulez pas de cette France que les politiques et les médias veulent nous imposer, vous devez clairement AGIR !
Il n’y pas d’autre choix sinon que de subir.

Alors on peut disserter sur la libre parole, le droit à insulter, ou comme sait si bien le faire la gauche sur la liberté… Mais doit-on et peut-on tout accepter pour autant ? Tout banaliser ?
Ce jeu dangereux amène immanquablement à la dictature et au pire.
Quand dans une société les lois ne sont plus appliquées et qu’il n’y a plus de barrières, genre tout doit être permis, c’est cuit.

Nous vivons dans un monde où il est plus facile d’excuser, notamment le crime, que de combattre. Un monde où les faux semblants sont rois, le on dit est de mise et l’indulgence obligatoire.

Quelle hérésie a donc saisi les gens ?
Cela ressemble bien à un suicide collectif.

Ainsi il faut pour tout banaliser comparer même ce qui est incomparable. C’est que dans notre société ULTRALIGHT©, tout le monde y doit être beau et gentil. Tout est pardonnable sauf la vérité. L’âpre vérité, la vérité qui dérange bobos, gogos et veaux.

Tout le monde trouve normal que l’on puisse chanter des chants contre la France et les Français, cela c’est même un genre prisé, siffler la Marseillaise parce que c’est soi disant un chant guerrier, comparer un petit pays dont on n’aime pas les ressortissants à un pays nazi, il faut aussi être ceci ou cela pour paraître dans notre société, plaindre les pauvres surtout ceux qui ne sont pas de chez nous, etc.

Une société sans repères, désœuvrée et triste est finalement notre quotidien. Plus rien n’étonne personne car tous sont hyper blasés.

On va pleurer pour je ne sais qui ou je ne sais quoi à 5.000 km de France et personne ne parlera de ces petits vieux qui font les fins de marchés pour y ramasser de quoi manger.

Notre société se meurt, elle est malade mais n’a pas de docteur capable ou assez courageux pour la soigner hors des sondages bidons et truqués et des médias sans lesquels nos politiques ne peuvent survivre.

On balade les gens dans le car de l’indifférence et on leur fait visiter des poncifs éculés propres au marxisme et au socialisme d’y il deux siècles au moins.Proudhon renait victorieux dans un pays qui sombre mentalement.

La télé ne se casse même plus la tête à informer, les politiques se la pètent grave et nous trinquons à nos frais pour tous ces foireux.

Des révélateurs ne suffisent même plus à réveiller un peuple endormi et frileux.

J’entends ici et là des personnes nous expliquer que la liberté d’expression doit être respectée. Certes mais jusqu’à quel point ? Untel de dire que cette liberté doit être totale sauf  « Une liberté que seuls doivent borner l’insulte et l’incitation à la haine raciale, lesquelles ne peuvent être que dûment établies ». Ce qui est bien le cas du pseudo comique. La contradiction est totale en conséquence et la question est : quelqu’un a-t-il le droit oui ou non de proférer sa haine en public ? Si c’est oui, alors pas de souci, Dieudonné doit continuer et si c’est non, il doit être arrêté (même au bout de 14 ans !). Alors il faut faire de même avec les racistes anti Français qui eux peuvent impunément déverser leur haine sans risque. Si un Français fait de « l’humour à la Dieudo » contre des de la diversité, il ne durera pas longtemps… Il faut que l’État soit conséquent et applique la loi une et indivisible.

Au nom de la liberté d’expression, il faut fixer des limites mais des limites égales et applicables pour tous.

Triste spectacle d’une France réduite à des médias qui nous désinforment quotidiennement, à une actualité qui cache toute la réalité, à un type sans intérêt qui occupe toute la scène depuis quinze jours, et à un Président plus préoccupé par ses galipettes en dehors de chez lui que par le salut de son pays.


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