Magazine Humeur

CHASSE AU DIEUDO. "Asu Zoa" ou l’aveu médiatique et la poursuite d’un lynchage abscons

Publié le 15 janvier 2014 par Menye Alain

Alors que le ministre de l’Intérieur Manuel Valls perd des plumes après son bras de fer mâtiné de fraude criarde, face à Dieudonné, les frustrés des égouts ne lâchent toujours pas l’humoriste Dieudonné. Comme le précisait son avocat, il faut visionner toutes les vidéos de l’artiste pour se rendre compte d’une évidence. Au juste, les "qui", de Dieudonné et ses supporters, plus ses détracteurs, pourchassent les autres ? Surtout pas Dieudonné, victime d’un lynchage sans précédent. Il serait même à l’origine du terrorisme mondial que ça n’étonnerait personne. Ambiance.

"Asu Zoa" serait un remake du "Le Mur",  édulcoré

Les médias mainstream, si vous les suivez ou les lisez encore viennent de passer aux aveux complets. En effet, ceux qui disaient urbi et orbi que l’humoriste ne passait son temps qu’à parler des juifs parlent aujourd’hui du contraire à l’insu de leur plein gré. Qu’est-ce à dire ? En affirmant mordicus que le nouveau spectacle de l’humoriste Dieudonné "Asu Zoa" n’est que le remake du "Le Mur" version édulcorée, c’est bien la preuve que le one-man-show n’était nullement concentré sur les juifs. D’ailleurs, pour ceux qui ont vu "Le Mur" avant la polémique, il n’en était rien. Ce déni est bien la preuve que ces gens sont des falsificateurs qui n’arrivent pas à percer le succès grandissant de l’artiste malgré leur plan de destruction massive.

Finalement, on se rend bien compte que, pour la première fois en France, on refuse volontairement à un humoriste de pratiquer le second degré, ce qui est pourtant la règle dans ce métier. Ce forcing se résume à vouloir le classer de fait,  comme homme politique, ce qu’il n’est pas. La propagandastaffel bat le plein dans ce sens-là. Comme on dit, c’est dans les détails que se cachent le diable. Ceux qui s’inscrivent dans ce régistre, malgré leurs discours sur la normalité soi-disant de la critique d’Israël, ne l’acceptent pas dans les faits. On a lu tout et son contraire sur le compte de l’humoriste. Le président de la République en rajoutait une couche, hier, lors de sa conférence de presse. On a vu une organisation dite de "défense de la Palestine" s’attaquer honteusement à l’artiste.

Ayant réellement perdu la bataille dans l’envie de l’interdire, malgré le souhait de certains éditorialistes, qui, dans un journal dit de gauche, qui, dans un média dit de droite, Dieudonné est plus que jamais, un résistant. D’ailleurs, le soutenir c’est être résistant vu la machine infernale et surpuissante d’en face. Mais, c’est surtout être un défenseur de la République qui garantit des droits pour chacun et l’égalité. N’ayant pas réussi à interdire Dieudonné, il y a quand même une victoire de ses ennemis, celle d’avoir interdit qu’il critique Israël. C’est juste de celà qu’il s’agit, contrairement aux salmigondis des uns et des autres, se cachant derrière une prose morbide et mortifère qui ne trompe plus personne…

>>>Rejoignez-nous sur Facebook 

L’ultime syncrétisme d’un lynchage: la censure Internet

Ils pataugent comme des mouches dans la bouse, pour tenter de l’interdire d’une façon ou d’une autre. Peut-être que l’envie folle de le voir devenir SDF traverse leur esprit malfaisant mais, ils ne peuvent rien contre un artiste, qui plus est, talentueux. En effet, l’humoriste Deudonné peut, aujourd’hui, grâce à ses attachés de presse personnel, faire un carton partout dans le monde, même au pays de son père le Cameroun, où, personne ne le connaissait jusqu’à ce lynchage infernal. Alors qu’on vous parlait récemment de la sortie de la Licra qui n’accepte pas visiblement le succès tonitruant d’"Asu Zoa" (la face de l’éléphnat) dont les linguistes Ewondo ( ethnie et dialecte du père de Dieudonné)  qui nous ont contacté disent qu’il s’agit d’une expression qui vient d’un rite ancien chez les Béti (groupe ethnique), qui désigne le vainqueur d’une épreuve. Dieudonné est donc le champion d’où Asu Zoa, que la Licra veut détourner:

Un porte-parole de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), rapporte Le Parisien, organisation qui a porté plainte plusieurs fois contre Dieudonné, a indiqué que ses responsables seraient « vigilants » et qu’ils comptaient suivre le spectacle sur les médias et les réseaux sociaux. La Licra s’inquiètait déjà lundi d’un possible message caché dans le titre du nouveau spectacle. « “Asu” est l’acronyme inversé pour “USA” et “Zoa” est le nom d’une organisation sioniste américaine », la Zionist Organisation of America, a expliqué le porte-parole.

Après la Licra et le Crif, qui veulent transformer le geste de la quenelle en geste criminel, c’est maintenant au tour de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), d’entrer dans la danse. Non contente du fait que l’humoriste est maintenant interdit de parler d’Israël, leur haine envers lui est sans fin. Ceux qui mettent le vocable "haine" à toutes les sauces pour disqualifier tout contradicteur font plutôt oeuvre d’une haine incompressible. C’est une lapalissade. L’UEJF, ose demander à YouTube de modifier ses algorithmes pour que les vidéos de Dieudonné soient moins mises en avant auprès des internautes susceptibles de les regarder. On voit déjà des avertissements (photo juste au dessus). Il n’y a pas de mot pour décrire cette haine. Alors, les "qui" courent après Dieudonné ? Vous le savez maintenant…Demain, ne soyez pas surpris qu’ils vous disent qu’il mange des bébés au petit déjeuner…Heureusement, les Français ne sont pas/plus dupes.


Retour à La Une de Logo Paperblog