J’ai testé « installe ton arbre à chat en filet sur ta porte avec un fauve hystérique en bonus »

Publié le 22 janvier 2014 par Anaïs Valente

Aujourd’hui est un grand jour. Chat-pa Noël est passé.

Vous me direz, si vous me suivez sur FB, que chez moi c’est Noël tous les jours, après l’arbre à chat, après le tunnel et les jouets à plumes.

Oui mais c’était moi qui jouais à la mère Noël. 

Ici c’est un vrai cadeau presque tombé du ciel que les fauves ont reçu, cadeaaauuuuuuu !

Ça ressemble un peu à un truc Ikéa, à suspendre à une porte, avec des filets et des trous pour ranger du brol, sauf qu’ici on y range du chat, tant qu’à faire.

Hyper bien conçu, ce truc bien lourd semble solide.

Je le sors de sa housse et découvre l’engin. Ce sera facile à suspendre, pas de vis, pas de trou à faire, juste deux crochets à mettre à la porte et à coincer dans la barre latérale. Y’a donc quatre barres et quatre « macaronis » dans lesquels insérer les barres. Bon ça fait huit trucs de trop. J’ai pas le sens de l’orientation en matière de montage de bazar pour chat, je vous le dis. Je me plonge donc dans la contemplation du truc, sans piger. Pourquoi zont pas juste mis deux crochets de porte attachés en haut et basta ? Pourquoi prévoir des trucs à glisser dans des bazars ?

Après un quart d’heure, je pige.

Alléluia.

Sauf qu’il faut quatre mains. Deux pour tenir les deux crochets une fois insérés dans leurs macaronis.  Deux pour tenir la porte entr’ouverte, qui n’arrête pas de se fermer because le futur jouet se frotte à elle. Bon. Je descends de mon pouf en rotin, ou plutôt j’en tombe (un pouf sur trois pieds n’a aucune stabilité – note pour plus tard). Je prends une chaise, je coince comme je peux la porte, sans coincer Iguaï qui, ayant perçu une ouverture, tente de découvrir ce qui se trouve derrière.

Et je tente à nouveau de suspendre mon bidule. Bidule qui intrigue le fauve, lequel grimpe dedans. Deux mains de plus pour l'éloigner, siouplait. C’était déjà lourd. C’est désormais très lourd.  Et Iguaï s’amuse comme un petit fou.

Et puis le miracle se produit.  Je parviens à attacher le côté droit, puis le gauche, et l’engin est prêt à accueillir l’animal.

Je pourrais vous faire rire en vous disant qu’il l’a totalement nié, boudé, ignoré.

Ben même pas.

Il l’adore à la folie de la mort qui tue la vie.

Direct au sommet qu’il était.

Jugez plutôt…

L'engin une fois installé (j'avoue que c'est moi qui ai mis le fauve dedans, pour lui montrer le chemin du sommet)

Il se hisse de suite encore plus haut, tant qu'à faire...

Découverte du cadeau :

Oh, une baballe !

Et un cochon pendu, un...

Même ma vieille mémé est curieuse :

Seul drame : Iguaï est comme beaucoup de chats qui grimpent aux arbres puis hurlent pour redescendre : il grimpe au sommet de son nouveau jouet puis m’appelle en miaulant à fendre l’âme pour que je vienne le chercher, ignorant les jolis trous entre les étages qui lui permettent d’aller et venir à sa guise.

Je pressens cependant des heures de jeu en perspective et voue une reconnaissance éternel à Chat-pa Noël qui a ainsi gâté mon petit fauve en furie.

Vue du canapé où je tente de me reposer, fauve hurleur "viens me chercheeeeeeeeeeeeeeer" :

Aujourd’hui est un grand jour. Chat-pa Noël est passé.

Vous me direz, si vous me suivez sur FB, que chez moi c’est Noël tous les jours, après l’arbre à chat, après le tunnel et les jouets à plumes.

Oui mais c’était moi qui jouais à la mère Noël. 

Ici c’est un vrai cadeau presque tombé du ciel que les fauves ont reçu, cadeaaauuuuuuu !

Ça ressemble un peu à un truc Ikéa, à suspendre à une porte, avec des filets et des trous pour ranger du brol, sauf qu’ici on y range du chat, tant qu’à faire.

Hyper bien conçu, ce truc bien lourd semble solide.

Je le sors de sa housse et découvre l’engin. Ce sera facile à suspendre, pas de vis, pas de trou à faire, juste deux crochets à mettre à la porte et à coincer dans la barre latérale. Y’a donc quatre barres et quatre « macaronis » dans lesquels insérer les barres. Bon ça fait huit trucs de trop. J’ai pas le sens de l’orientation en matière de montage de bazar pour chat, je vous le dis. Je me plonge donc dans la contemplation du truc, sans piger. Pourquoi zont pas juste mis deux crochets de porte attachés en haut et basta ? Pourquoi prévoir des trucs à glisser dans des bazars ?

Après un quart d’heure, je pige.

Alléluia.

Sauf qu’il faut quatre mains. Deux pour tenir les deux crochets une fois insérés dans leurs macaronis.  Deux pour tenir la porte entr’ouverte, qui n’arrête pas de se fermer because le futur jouet se frotte à elle. Bon. Je descends de mon pouf en rotin, ou plutôt j’en tombe (un pouf sur trois pieds n’a aucune stabilité – note pour plus tard). Je prends une chaise, je coince comme je peux la porte, sans coincer Iguaï qui, ayant perçu une ouverture, tente de découvrir ce qui se trouve derrière.

Et je tente à nouveau de suspendre mon bidule. Bidule qui intrigue le fauve, lequel grimpe dedans. Deux mains de plus pour l'éloigner, siouplait. C’était déjà lourd. C’est désormais très lourd.  Et Iguaï s’amuse comme un petit fou.

Et puis le miracle se produit.  Je parviens à attacher le côté droit, puis le gauche, et l’engin est prêt à accueillir l’animal.

Je pourrais vous faire rire en vous disant qu’il l’a totalement nié, boudé, ignoré.

Ben même pas.

Il l’adore à la folie de la mort qui tue la vie.

Direct au sommet qu’il était.

Jugez plutôt…

L'engin une fois installé (j'avoue que c'est moi qui ai mis le fauve dedans, pour lui montrer le chemin du sommet)

Il se hisse de suite encore plus haut, tant qu'à faire...

Découverte du cadeau :

Oh, une baballe !

Et un cochon pendu, un...

Même ma vieille mémé est curieuse :

Seul drame : Iguaï est comme beaucoup de chats qui grimpent aux arbres puis hurlent pour redescendre : il grimpe au sommet de son nouveau jouet puis m’appelle en miaulant à fendre l’âme pour que je vienne le chercher, ignorant les jolis trous entre les étages qui lui permettent d’aller et venir à sa guise.

Je pressens cependant des heures de jeu en perspective et voue une reconnaissance éternel à Chat-pa Noël qui a ainsi gâté mon petit fauve en furie.

Vue du canapé où je tente de me reposer, fauve hurleur "viens me chercheeeeeeeeeeeeeeer" :