Je n'avais pas encore vu les étourneaux. Ils sont arrivés aujourd'hui et je m'y attendais car l'hiver arrive maintenant, par l'est : -24° à Moscou, -13° à Berlin. Je peux aller acheter des caisses de margarine et des gros sacs de cacahuètes.
Il ne fait pas encore froid ici, le lierre a déjà beaucoup de fruits mûrs, mais le geai a pris ses habitudes
Et le plus rare aux mangeoires, le pic-épeiche était là à l'aube. Lorsque je l'ai vu, je suis allée le plus lentement possible vers l'APN car les oiseaux voient le moindre mouvement dans le séjour même faiblement éclairé. Je n'étais pas certaine d'avoir le temps de faire une meilleure photo, j'ai donc utilisé d'abord la mise au point automatique. Et je n'ai pu faire mieux, il a fui aussitôt, peut-être parce que j'avais oublié de déconnecter le flash automatique (inutile dans ce cas, je suis à 6m). Mais on le voit suffisamment bien pour remarquer une anomalie au niveau de la tête. Les femelles ont une calotte noire, les mâles une tache rouge en plus mais limitée à la nuque. Celui-ci a une grande tache rouge de la nuque au bec. J'ai cherché l'explication : c'est un juvénile, la dernière couvée 2013.