Non, ne rêvez pas, vous ne verrez pas de photo de mes fesses, bien qu’elles soient magnifiques. Du moins c’est ce que dit M. à l’Ouest. Enfin presque. Quand je le surprend à suivre des yeux les fesses d’une jolie fille, il précise “les tiennes sont mieux”. Une façon originale et poétique de dire qu’il aime mon corps. C’est toujours bon à prendre.
Bref, ne nous égarons pas.
Ce que je vous dévoile aujourd'hui est mon prénom, et surtout mes surnoms.
En rapide préambule, voici d’où vient l’idée de ce thème. Une blogueuse joliment nommée Aubergine divine s’est lancée dans un exercice d’écriture.
La consigne était la suivante : Le Patronyme
Alain André, Babel heureuse, p.117 : écrire sur son patronyme, en suivant l’histoire de sa relation intime avec lui (surnoms, déformations, acceptation ou refus).
Je n’aime pas trop les consignes, c’est chiant… ce qui m’a plu, c’est son nota bene.
NB: J'ai un peu modifié la consigne sans le vouloir, j'ai oublié dans l'instant où j'ai écrit mon texte que le patronyme c'est le nom de famille…
J’ai trouvé son texte touchant, et son prénom si joli : Garance. Je vous invite à le lire, mais vous irez après okay ?
Ce prénom n’est pas le plus original, ni le plus doux, ni le plus élégant, encore moins le plus tendance. Pourtant, je n’ai jamais imaginé m'appeler autrement que Julie.
Les collègues et quelques amis l’utilisent. Mes proches aiment m’affubler de toutes sortes de sobriquets. Je les adore tous autant les uns que les autres.
Ma famille, belle-famille, mes parents, ma soeur, m'appellent Juju. Cela fait quelques années que mon papa a cessé de m’appeler mon petit lapin, et ce n’est pas plus mal. Il est passé à ma grande, j’espère qu’il m’épargnera ma vieille. Les autres utilisent donc ce diminutif très original. Je l’aime bien.
La DRH de mon travail m’appelle aussi comme ça quand cela lui échappe, avant de s’excuser. Elle est très fantasque et j’en déduit qu’elle doit bien m’aimer.
Mon chéri m’apelle Ju. Et aussi de plein d’autres mots affectueux qui nous appartiennent (non, pas ma grosse tanche). J’apprécie particulièrement ce diminutif car il est le premier à l’avoir utilisé et son caractère court me fait nous sentir très proches.
Sa fille, Choupinette (encore un surnom), m’appelle Zuzu, rapport à sa prononciation encore hésitante. J’adore. Elle m’a longtemps appelé Zizi, quand elle ne maîtrisait pas encore le U, j’aimais un peu moins même si je trouvais ça très drôle. Que voulez-vous, on ne peut pas rire des blagues pipi caca etc et faire l’offusquée quand cela s’applique à soi-même.
Ma fille m’appelle aussi Juju, de temps en temps. Cela ne me dérange pas. Elle s’adapte naturellement au langage de Choupinette puisqu’elle ne va pas me désigner comme maman, vu que Choupinette a déjà une maman. (vous suivez tout ?)
Pour finir, je vous parlerais bien de tous les surnoms débiles, ou sans aucun rapport avec moi, que des adolescents boutonneux ont pu me donner au collège ou au lycée mais je ne peux pas, il faut que j'y aille, j’ai piscine…
Si vous avez envie de dévoiler un peu de vous à votre tour, allez-y et partagez !