Dieudonné
C’est une constance. Le pouvoir a peur. Peur d’un homme sans arme qui distille la bonne parole par le rire, sans haine, ni violence contrairement au mensonge ambiant. Mais, avec les journalistes qui sont devenus des terroristes de la parole parlée ou écrite, pas d’issue de secours. Ils sont le nez dans le guidon dans une opération sans relâche de destructio massive. Hélas pour eux, sans succès probant depuis 10 ans. Néanmoins, ils ne lâcheront rien. Ils sont têtus, haineux, violents, menteurs, goujats.
Il ne nomme Monseigneur Caillasse. Il vient de produire un rap en faveur de l’humoriste le plus doué de France et de Navarre intitulée "Le Peuple". Une nouvelle chanson en faveur de la quenelle qui ne va pas plaire aux censeurs qui tentent, par tous les moyens, de l’interdire. On va trouver autre chose et ils diront encore que c’est quoi ? Pauvres clowns ! Pauvres idiots utiles de la rectitude morale mâtinée de mensonge.
LA CAILLASSE – "LE PEUPLE" (Tribute to Valls & Dieudo)
Vive la quenelle libre !
Manuel et sa meute se moquent bien de nos gueules.
Une branlée quotidienne que nous imposent ces veules.
Du pognon qui s’enfuit aux poches de ces chiens qui nous volent.
Mais le peuple est un putain d’fauve qui feule.
Dissidence en action, quenelles en préparation.
De la violence : sans façon, nous combattons pour l’élocution.
Soufflons l’oppression.
En découdre avec les cols blancs de Matignon : les justes en route pour une rémission
Bras tendu vers le bas, pour pointer l’institution.
Dans les classes de lycée, derrière les murs de prison.
Dans les bâtiments de l’armée, dans les casernes de pier-pons.
Dans les dispensaires, les HLM et tous les pavillons.
Que toutes nos voix unies crient leur fureur avec ferveur.
Que la passion des hommes honnêtes fasse vibrer les cœurs.
Que les élites de l’Elysée prennent peur, visage en pleurs.
Nous ne goberons plus vos couleuvres, que ce système meurre.
Que ce système meurre, dans des volutes opaques par la pensée claire d’une plèbe qui marche. L’opposition vous fâche.
Les esclaves insoumis feront brûler votre ludus.
Une armée de Spartacus, la liberté est notre stimulus.
Le peuple se gèle dehors, le combat est long et dure :
Comme le quinquennat d’un entropique maître de l’imposture.
Défendons nos valeurs, notre opinion et notre estime.
Ne nous sentons pas dissident dans une Francequi nous pousse au crime.
Dissolvons la Licra, envoyons donc bien chier le CRIF,
Subventionnés par nos millions et qui ne vivent que pour nous nuire.
Chassons nos dirigeants, dont l’implication est si faible.
Nettoyons donc les ministères par leur exil à Sainte Hélène.
J’appelle à la croissance d’une France unie de tous les horizons.
Dans une même direction, à pourchasser le même ennemi.
Nous ne sommes au cas par cas que des fourmis à faible cri,
Mais réunis par nos esprits et nos maillons nous sommes des Lions.
Quenelle accroupie, quenelle étoilée, quenelle politique :
Note bien que le bas-peuple te nique.
Quenelle entre amis, quenelle engagée, quenelle utopiste :
Note bien que le bas-peuple te fiste
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Note bien cher sujet, que ce système est moche.
Marianne blâme la pensée libre dans un amas de reproches.
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