Dieudonné
A la demande de certaines associations appuyées par le pouvoir socialiste et des éditocrates très vertueux véreux et adpetes de la censure, les choses étaient claires, il fallait que l’humoriste Dieudonné soit interdit. Il s’agissait bel et bien de l’homme en tant que tel, et non spécialement du spectacle "Le Mur" dont deux passages ont été retirés, ce qui indique bien que juger ce spectacle comme étant illégal était une forfaiture, après le montage astucieux fait de vol d’images et de désinformations de France 2. Le Conseil d’État a rendu son arrêt dans la précipitation. Mais, Manuel Valls, pas au fait du fonctionnement des Institutions de la République, a vu, après le camouflet de Nantes, l’appui en sourdine du président de la République en personne, demander le recours au Conseil d’État qui ne pouvait que s’appuyer sur le spectacle interdit à Nantes et l’arrêt du Tribunal administratif en faveur de l’humoriste. Une histoire de nom (Le Mur), qui est entrain de rendre fous les détracteurs de l’humoriste qui se désolidarisent du pouvoir socialiste aujourd’hui, et de Manuel valls en particulier. Pourquoi l’arnaque contre Dieudonné n’a pas pris ?
La décision du Conseil d’État dans le cas de Vincent Lambert est jugée ahurissante par ses médecins traitants, qui veulent arrêter l’acharnement thérapeutique… Ce fut aussi le cas de l’humoriste Dieudonné mais, de manière plus hypocrite, entre fraude et mensonge d’État. Aveuglé par la haine contre un homme, combat maquillé pour la supposée lutte contre le racisme, les détracteurs de l’humoriste ont radicalement et tragiquement échoué dans leur entreprise. Selon nos informations, des voix s’élèvent pour dire à Manuel Valls qu’il est un amateur, incapable de mettre fin à "la haine que véhicule l’ex humoriste Dieudonné". Il faut avoir un sacré culot pour oser parler d’ex humoriste. Mais, les cons, ça ose tout…
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Bernard Stirn, en tant que juge au Conseil d’État, ne pouvait qu’invalider la décision du tribunal administratif de Nantes qui, plus tôt, avait annulé l’arrêté d’interdiction pris mardi par le préfet de Loire-Atlantique. Ces recours frauduleux étaient intervenus après que le ministère de l’Intérieur, dans une circulaire,prônait l’interdiction au cas par cas du spectacle le Mur pour troubles à l’ordre public, laissant le soin aux préfets d’en décider. Une patate chaude cédée à ces derniers, pour ne pas être traité de père-fouettard anti-démocratique. Néanmoins, suite à la falsification aussi criarde que minable du Conseil d’Etat, le spectacle de Dieudonné à Nantes avait été finalement interdit.
Le drame que vivent actuellement les pourfendeurs de l’humoriste vire au tragique. On accuse la méthode. On accuse l’amateurisme. On accuse le manque de concertation. Va-t-on bientôt passer par la phase des négociations avec l’artiste de talent ? C’est moins sûr. Obnibulés par leur toute puissance, mâtinée de folie douce, il y a certains qui affirment même que, si l’homme était interdit, personne n’allait protester. C’est dire la putréfaction avancée de leurs idées nauséabondes qu’ils partagent avec les suprémacistes de tous bords. A force de diaboliser, le matin à midi et le soir, il ne faut pas après dire qu’on lui fait de la publicité. C’est simplement se moquer de soi-même.
En réalité, ce que ces gens n’ont jamais compris, c’est qu’il ne faut jamais aller au combat sans mesurer les forces de l’adversaire. En décliant leur combat en "Dieudonné" devenu l’espace d’un lynchage abscons "M’bala M’bala", le tout, appuyé avec un fort accent, tout le monde a compris qu’il y a avait maldonne quelque part. Même les plus malhonnêtes le savent. Même ceux qui portent des opeillères le savent. Même ceux qui font la politique de l’autruche le savent. Même ceux qui jouent aux autistes le savent. Voilà comment et pourquoi le ministre Manuel Valls a râté son coup. Dieudonné, l’"homme politique", selon leur prose morbide et mortifère, est sans doute aussi, comme en humour, le plus doué de sa génération. C’est le seul au monde qui fait des meetings payants tous les soirs. Quelle ironie !