Vous souvenez-vous de cette citation très connue de l’Abbé Pierre : "Un sourire coûte moins cher que l’électricité, mais il donne autant de lumière." ? J’y pensais hier après-midi.
J’attendais l’arrivée de l’équipe de production devant la Boîte de Jazz. Il faisait beau, un chouette soleil, et je regardais passer les promeneurs, marchant ou courant, vers le parc du Cinquantenaire… A quelques mètres, sur le rond-point, quelques combis de la police d’Etterbeek, des discussions avec les taxis qui ne sont pas garés à l’endroit convenu. Je regarde vers eux et une policière vient vers moi et engage la conversation. Elle est curieuse et se demande ce qu’il y a dans ce grand cube noir au sigle de la "Boîte de Jazz"… Et je lui raconte, ainsi qu’à ses collègues, qui, au fond, n’avaient pas d’urgences, heureusement…
Et puis l’équipe arrive, une par une les jeunes femmes superbes qui s’occupent du bar, de l’entrée, du vestiaire, de la régie, de la production… (oui, je ferai bientôt une photo de groupe) jusqu’à Mercedes, la sculpturale chanteuse londonienne… La policière me dit que j’ai de la chance ! Je ne peux pas le nier ! Et nous rions…
Je propose un selfie pour Instagram, etc. Mais mes bras tendus sont trop petits pour montrer de chaque côté les deux policiers et leurs insignes. Alors Aurélie, la responsable de la réalisation du spectacle, se propose comme photographe. La policière veut, pour faire plus vrai, me passer les menottes… Je refuse… Et si elle perdait la clé ? C’est à cet instant précis qu’est prise la photo ci-dessous…
Voici donc le partage de sourires ensoleillés un jour de février…