Magazine Humeur

Toucher l’bogosse… Du laid en sortira !

Publié le 27 février 2014 par Georgezeter

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Putain d’camion, la vie te passe dessus, t’écrase comme une limace qu’aurait voulue traverser l’autoroute un vikand de départ d’ché l’bison futé ; elle t’ingurgite aux p’tits oignons, tapas l’choix : les cornes, les zoreilles et la queue - La corrida quoi…La mise à mort, suffit de se relever et de bander toujours… Ses forces vers quoi ? Les Femelles, dammed !

 

Okay, je sais ! Tous les chieurs, râleurs de tous poils et de tous ramages vont se dire : tient, pendant que l’Ukraine s’autodafé, qu’Hollande s’auto-fromage, que la Syrie s’auto-vache qui rit et qu’Obama, s’auto-Ford mustang. Un connard à état d’âme une fois de + nous livre sa bavasse sur le net et en + il fait pipi au lit… Zauriont et zavez raison les fulminants, sauf que : Pour l’dernier c’est pas vrai, j’portes des couches culottes à double dérailleurs incorporés, certifiés Tour de France Armstrong EPO… 

(Il est c’est certain qu’en ecrivassant de telles patouilles, pas de risque d’avoir « un lit garni » ce soir en cette nuit étoilée d’une belle, et même moins belle et même encore moins que ça ! Car comment plaire en écrivant cela ?)

 

Comme disait Gainsbar « La différence entre la beauté et la laideur, c'est que la laideur, elle, au moins elle dure »…

Ouaip !!! Et comme moi, pas d’bol, ben j’étais dans l’inverse tronche… Le wagon des « beaux » qui en se gâtant avec l’âge se ratatine de la gueule… Ca me fait un drôle d’effet depuis 2 ou 3 ans (et je suis un verni, pour certains ça a commencé y’a 20 piges)) de me prendre des râteaux redoutables. La femelle bipède, elle, est sans aucune pitié ; elle te sent apte à une utilisation optimale, te jauge du regard en 1 milliardième de seconde, ses yeux : des radars à décrypter le male, ou ce qu’il en reste ; elle sent d’instinct labelle que y’a une esbroufe sous l’capot, qu’la tuture rame, qu’le moteur pétarade, démarre slow à l’allumage ou ne démarre pas du tout. Ca s’appelle en beau langage la libido en berne, et dans mon langage « panne de bite » (excusez le Madame il ne sait plus ce qu’il dit).

 

Et là, pas un regard, pas un signe de vie, pour elle t’es un caillou… Même pas celui qui se foutrait à l’intérieur de sa godasse à talon de 15 cm et l’emmerderait pendant les soldes ; non que nenni elle hennie ! T’es une rocaille lointaine d’une planète qui n’existe même pas, la planète : « j’préfère crever de la peste bubonique que de te sucer vieux connard !) ; et ainsi elle va pasaran son chemin, et toi, ta gaule, ta bonne bite sous le bras et tous les seins de la création te rappelleront qu’en ce monde « La différence entre la beauté et la laideur, c'est que la laideur, elle, au moins elle dure ! » Serge ! Vieux salonard, ça a dut être dur d’être moche comme toi pendant si longtemps, l’a fallu le succès, et ton talent pour que : tu t’enquilles mon salaud toutes les plus belles luronnes de la moitié du 20ème (pas arrondissement banane !)- Sans aucune pitié ces femelles et pragmatiques en diable à te sucer les sangs!

Les femmes comprendront jamais deux trucs chez les mecs (alors que c’est 300 millions de choses que nous les hommes ne comprenons pas chez les damas)

1 – Les hommes bandent comme ça sans raison, et en + c’est incontrôlable.

2 – Les hommes n’ont aucun contrôle lorsqu’ils éjaculent ; ça se barre dans tous les coins.

3 – Les hommes veulent des grosses verges et de longues pines. (c’était en prime)

4 – Les homme accessoirement son brillants, inventifs, conquérants et drôles (Je parlais de personnages de roman hein !)

 

Ben moi, imaginez le nombre de jolies sisters que j’ai pu culbuter ? Ouais, tcho mucho beaucoup. J’étais dès le départ fait pour avoir une espèce de complicité tacite et tactile, j’ai des doigts de fée en ce qui concerne le maniement de la chair. Elles montassent aux rideaux et entamassent le chant des cygnes ha, ho oui ! je sais ce n’est que 3 notes ! Mais quelles notes ! (sans parler des notes de restos et d’hôtels) et puis je lutinais comme une bête ;des aller-retour interminables jusqu’à la jouissance à répétition de la dadame et moi… Ben j’faisais la roue du paon.

D’ailleurs lorsque j’étais ado, je plaisais beaucoup aux filles, je me débrouillais comme un manche, les bonnes chaudasses me montraient le chemin, là où c’est bon… Les grandes lèvres, les petites, le clicli et bien d’autres trucs rosés.

Les filles étaient si gentilles, prévenantes et douces et enveloppantes que je m’en souviens encore ; Cette tendresse sourde féminine… Leurs bouches.

Ce qui est certain : Je l’emporterai un jour au cimetière je le sais. Toute ma vie aura été faite de l’amour que je porte aux femmes. Elles m’ont tout appris, même le mensonge. Je suis triste qu’aujourd’hui elles m’oublient. Mais bon, c’est mon sentiment, en tant que petit male, j’ai fait mon job. Vous faire jouir et si possible beaucoup de fois.

En mes belles années et elles furent nombreuses, fallait juste que je sorte quelques trucs, et en + doué pour le blabla léger, j’l’ai fait rire et le rire l’emporte ; puis un sourire et mes yeux verts et… Mes mains et Baboum barnum ! Un joujou extra qui fait crac boum hu ! C’était l’bon temps, j’ai eu jusqu’à 11 copines en même temps ; à un moment de ma vie j’ai pensé devenir gynéco (pas Doc banane j’fais pas du Rap !) Je voyais tellement de chouchoutes (mot Réunionnais, que je trouve très beau), donc de chouchoutes, que j’aurais put en redéfinir la cartographie. Ya rien de + intéressant que ce « petit monde » enfouie, et pis c’est de là (delà) que nous sortons tous ! Va savoir pourquoi, je fais parti des grands (et j’assume ) dégustateurs de cet chose qui s’appelle cunnilingus : ca se sert dans un string, sur un plateau de paille de fer très poilé, avec des moules, des figues et même des clitoris bleus et le fumet des brunes est si transportant, qu’à chaque fois j’en oubliais mon nom, putaing les brunes ! Boisées… Des algues marines surnageaient, une sonate au fond de l’aber Wrac'h se mourait… Et tes sons de fond de gorge, avalaient le guenanff ; serions nous dans les grandes marées d’équinoxe? Amen ma jolie femme comme Barbara!

 

Depuis 2012, c’est le désert delabite. Un grand désert de sable cho, qui ne reçoit plus aucune irrigation ; il va crever !

J’ai beau me foutre sur des sites à la con, contacter 900.000 femelles ; payer pour ces conneries en boite de 12 - Qué nada ! Veulent plus de moua. Le vieux.

Ca doit être ça devenir un vieux qui a été beau, et qui bande fort chaque matin, d’avoir tout ce sang qui tourne et retourne si altier et d’aller aux toilettes et pisser à coté, car, paupaul brin d’acier ne veut pas courber de l’échine, il s’échappe à mon contrôle, puis, toute la journée j’essaye d’oublier… Beau me branler. Toujours là… C’est infernal.

Etre un homme tue.

Georges Zeter/Février 2014

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