Mouammar Kadhafi & Nicolas Sarkozy
J’ai l’intime conviction, et depuis le début de l’assassinat macabre du frère Guide Mouammar Kadhafi, que, ses meurtriers payeront le prix. L’ex président Sarkozy en fait les frais tout doucement et, ses acolytes pour la destriuction de la Libye, dont Obama, auront aussi leur jour de gloire. Quand la presse mainstream traitent des questions nationales, elle est plus justes. Là, nous adhérons tous. C’est le cas du journal Le Monde aujourd’hui. Le titre de ce petit billet est ironique…
Premier extrait:
L’affaire est sans précédent. Un ex-président de la République et deux de ses anciens ministres de l’intérieur placés sur écoutes téléphoniques. Gilbert Azibert, l’un des plus hauts magistrats français, suspecté de renseigner discrètement Nicolas Sarkozy sur l’affaire Bettencourt, en échange d’une sinécure à Monaco. La Cour de cassation, plus haute juridiction de l’ordre judiciaire, accusée d’être sous influence, ses principaux membres susceptibles d’être interrogés par les policiers. Tous les ingrédients d’un scandale d’Etat sont réunis.
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Deuxième extrait:
Le point de départ de l’affaire remonte au 19 avril 2013, lorsqu’une information judiciaire pour « corruption » est ouverte à Paris. Confiée aux juges Serge Tournaire et René Grouman, elle vise un éventuel soutien financier de la Libye à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, en 2007. Discrètement, les magistrats prennent une décision forte : ils mettent l’ancien président sur écoute, ainsi que deux de ses anciens ministres de l’intérieur, Claude Guéant et Brice Hortefeux.
Troisième extrait :
En décembre 2013, plusieurs conversations enregistrées entre M. Hortefeux et l’ancien patron de la police judiciaire de Paris, Christian Flaesch, fuitent dans Le Monde. Elles révèlent une proximité gênante entre l’homme politique et l’enquêteur, entraînant la mise à l’écart du policier.
Quatrième extrait:
L’épisode inquiète les sarkozystes. M. Sarkozy lui-même devient laconique sur son téléphone « officiel ». Les juges s’interrogent, et finissent par découvrir que l’ex-chef de l’Etat dispose d’un second portable, enregistré sous un nom fictif. A son tour, cet appareil est placé sous surveillance. Les écoutes révèlent des échanges avec un autre téléphone mobile acquis avec une identité d’emprunt : il s’agit du portable acheté par Me Herzog pour échanger en toute confidentialité avec son client.
Nous avons par ailleurs appris que l’ex couple présidentiel avaient des propos très durs contre les musulmans dans les enregistrements de Patrick Buisson, l’ami de Jean-Marie Le Pen, l’homme que l’humoriste Dieudonné est interdit de voir mais les autres, si. Avis aux lyncheurs ! On comprend donc la volonté du couple de porter plainte en référé, pour que ne soient plus diffusés ces extraits des enregistrements.
Quand Sarkozy traite les autres de racailles, on a plutôt une envie folle, celle de rire aux éclats…