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Féminisme… & Gonflette surannée

Publié le 15 mars 2014 par Georgezeter

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Ha ! le féminisme, et sa gonflette surannée selon Michou Houellebecq ; les particules élémentaires, moncul : un bouquin que j’ai lu lors de sa sortie mais pas du tout aimé[1] Ce vieux routard désabusé, et aussi un papier sur un blog d’une « backpack girl», je cite : « grande brune partie autour du monde… », la routarde jeune très abusée de tout. Et ben, ces deux rotors, ces 2 histoires se chevauchant si bien, se complétant tellement, que je ne peux pas me passer le plaisir de creusarêver en ces eaux claires ; Amen !

Michou ? Tu fais la gueule ?

Bon, malgré un nom breton Houellebecq qui me le rendrait presque sympathique d’entrée malgré qu’il soit né sur le cailloux de la Réunion. Faut dire ; C’est vrai qu’avec sa tronche rive gauche qui s’rait endormie dans une poubelle du café de Flore, on peut pas avancer que l’amer Michel porte aux nues, aux zanas la jouhaha ; quoique que pour certains maniaquos dépravés, why not ? Donc, avec son histoire de mec très désenchanté par les femelles t’ché nous en Gaulie ; il observe le ballet des mouvements humains qui s’enchaine autour d’une machine à café ; ça pourrait être aussi autour d’un moule à gaufres ? Et ça vous rappelle rien ? Ces matins blafards où la secrétaire du boss, super bandante vient traire son cappuccino en vous ignorant tel la larve... Le héros du bouquin souvent pour faire chier les collègues et décoincer les esprits balance des trucs supers shocking : Comme la fois où il empapaoutait deux jeunes putes thaïlandaises p’t être ben mineures, on sait jamais, paraissent toutes semblables ces salopes, et ce, dans un bordel de Soy si, et qu’il aimait ça en décrivant par le menu les agapes sensorielles et où il conseillait aux autres males présents de : tiens comme l’acteur David Carradine de se faire… Bref, non, oui !… En général les mecs ça les fait plutôt triquer, Malheureusement quant aux femmes… ha lala ! C’est aussitôt tout le saint frusquin féministe qui déboule, une vraie crise d’hystérie comme si la dadame était elle-même violentée par 4 tirailleurs Népalais en rût à baga, et c’est dir ! Et si pas d’bol elles sont deux… Quelle chafouin ! « Et les mecs si, et les mecs ça et y’a que ça qui compte ! (ce qui est vrai !), et que ces pauvresses qu’on exploite, qu’on abuse, qu’on salie, qu’on con connasse qui cancanent ; la ferme ! Bref, c’est l’Waterloo sur pute les zo ! Et c’est ce qui m’amène à mon 2ème routard…

La backpakeuse et les garçons… de bocson

C’est bien la 1ere fois que j’m’intéresse aux écrits de joie et d’orgasmes d’une jeune nymphette, tourneboulant autour du globe. Bref, j’tombe sur son papier un jour de recherche de site sur les mathématiques ou les mathématiques pornoses, j’sais plus ; ça commence ainsi :

- « Glauque. C'est le terme pour qualifier ma visite éclaire à Phnom Pen. J'ai passé la nuit dans un hôtel de passe au cœur du quartier chaud de la capitale cambodgienne. »… Mais que font papa et moman ? Pas commun une jeunette qui va dormir chez les putes non ? Mais rapidement je lis que cette tendre enfant s’est gourée dans sa résa, et que hasard, elle est tombée dans un lieu de perdition… Amen ! Ce qui est intéressant c’est d’entrée sa vision de la situas :

- « Sous mes yeux défilaient des hommes blancs de + de 50 ans, bedonnants et vêtus de l'incontournable marcel laissant apparaître une forêt blanchâtre s'échappant de leurs aisselles humides, la claaaasse occidentale. Mis à part l'aspect physique, je leur attribuais un autre point commun : tous étaient accompagné d'une jeune et jolie cambodgienne. Le spectacle était affligeant : nos gentlemans offrent un, deux, trois cocktails à leur demoiselle dans l'objectif de « faire connaissance. » Et ça continu l’anathème : « les couples quittent la table, l'un à la suite de l'autre dans un style presque chorégraphié. Le gentleman affichant un petit sourire satisfait ramasse la clef à la réception, la demoiselle quant à elle croise mon regard. Je lis la tristesse et la fatalitédans ses yeux. Je suis honteuse! Honte d'appartenir à cette race de blancs venant polluer une culture asiatique caractérisée par la pudeur et le raffinement. Ces hommes en manque de sexe sont-ils conscients de leurs actes ? »

Certains commentaires sont nécessaires suite à ce tissu de conneries: 1) La majorité des clients et surtout pour les mineurs sont des hommes locaux, des Cambodgiens et ça les ONG le savent très bien mais ne l’ébruitent pas ; mauvaise pub pour le pays d’accueil. 2) Ces hommes « vieux » en fin de vie selon l’auteur, mais qui bandent encore selon moua ; ben pour une fois qu’ils auront une belle femme dans leur lit, alors qu’ils ont dù se farcir une bobonne acariâtre pendant un demi siècle ; et bien pour moi respect ce sont des héros! 3) si tu réussis à lire quoique ce soit après deux jours dans les yeux d’une asiatique, alors là respect à toi aussi ! 4) « culture asiatique dans le raffinement »… Et Pol Pot t’en fais quoi, du nougat pauvre banane de grande brune ?

Bref, pour tout arranger, cette jeune juge des flagrants délires poste en pleine page la photo de 3 mecs, de + de 50 ans, dont 1 a une Cambodgienne sur les genoux… J’sais pas si vous ça vous choque, mais, chacun mène sa vie comme il peut, alors, qu’une merdeuse sans demander l’avis de ces trois quidams en goguette ; car, on peut penser qu’ils ont des vies privées, des mômes, des mégères à sustenter ; Fait, que moi, dans ce papier, je me permets de foutre ta tronche à toi l’Helene Leroy en photo dans mon article. Un commentaire : les 3 hommes, sont en chemise, bien habillés, se tiennent bien, y’en a même 1 qui lit, et il y a seulement une femme qui n’a pas l’air d’être une gamine de 12 ans sur le cliché.[2]

Michel & la petite ne seront jamais dans la même boat !

… à ça c’est zûr que nenni ! J’suis dac avec l’auteur à succès : chez nous, les femmes nous les cassent menu, nous les pili-pili au millet. Faut faire l’impasse sur la française ; les + de 40 ans sont les pires. Souvent le cheveux courts, les fringues informes, les dents j’t’en parle pas, la douche tous les 2 jours ouvrables, la barbe presque, les touffes qui poussent sous les aisselles, les jambes et la… Face d’un triste à faire chialer Ronald le clown, le visage fermé, cadenassé, les lèvres pincées, la poitrine dévastée et les cuisses serrées, serrées ; tu y casserais des noix de cajou, hiboux-genoux. Apparemment le féminisme primaire et primordial qu’est arrivé bien 15 ans après les States a fait les mêmes ravages… L’HOMME est une espèce à abattre. Et j’ai vu les dégâts pendant mes 25 ans en Californie. De vraies viragos. A les entendre ; les hommes c’est bon à rien, ça aide pas, ça sait rien foutre, c’est sale, ça pense qu’au sexe, à picoler, se battre, jouer avec des flingues et j’en oublie certainement. J’entends le brouet depuis 30 ans ! Je vois ça dans les films tout le temps ; un vrai cliché qui à 100% montre une famille monoparentale… Le père… Peau d’balle parti en Alaska.

J’en suis devenu « masculiste » et lorsque j’entends la moindre femelle dégoiser sur nous, je suis prêt à mordre ! J’en aie + que ras les bonbons d’entendre ho ! combien nous sommes de mauvais pères ; d’être dévalué devant nos enfants, surtout nos fils qui ne savent plus à quels saints, ou plutôt à quels seins se vouer !

Dans notre « civilisation » y’a un truc qui ne fonctionne plus : les rapports (lorsqu’il y en a) entre les hommes et les femmes. C’est le reflet d’un cours d’économie de base : la loi de l’offre et de la demande. Ce qui est patraque c’est que l’offre surpasse la demande non ? Les femmes sont plus nombreuse. Mais comme c’est le mec qui doit aller au charbon en 1er (et que le 1er qui parle perd comme en chaque marchandage), et qu’en + sa demande de crédit sexe est + forte, ou plutôt moins bien géré intelligemment que sa compagne qui sait elle se faire attendre, désirer, et ben, il l’a dans l’baba le queutard. Comme on dit à Las Vegas : “You get fucked, but you don’t get laid !” (démerdez-vous avec la traduc chers trouducs), donc, La queue sous le bras quand madame décide de faire du chantage au zizi-panpan, monsieur l’a dans le nonosse bien profundis.

Le mâle ne renonce jamais… (Ce con)

Même lorsqu’il s’inscrit sur un site de rencontre, des carabosses de 45 ans et + avec deux moutards ados, et un père biologique qui sera dans vos pattes, une situation sociale moins éclose que la votre, des dettes… et ben, ces dames, ces demoiselles, ces femmes feront encore la fine bouche… Perdre le sens de ce que l’on est vraiment, est le dernier avatar de la vie on line… Ne mentionnons pas celles qui te disent dans le blanc de l’œil : « les hommes m’ont fait trop souffrir ». J’T’en foutrais d’la souffrance chère thon ! Ben, Bonne chance Mesdames de trouver celui qui subira vos ragnangnans 30 jours sur 30. Quant à moi et mes potes informés, nous nous tirons ailleurs, bien sûr sénégalais !

On devrait leur dire merde ! et se masturber devant elle, foutre du foutre partout comme DSK sur la moquette et tomber de sommeil en ronflant comme un turbo (pas le poisson ducon, l’avion !) Quant à la galanterie ; j’t’en foutrais de te tenir la porte. Démerde toi avec les gongs !

Aux States ça s’appelle « P.P » pour Pussy-Power. Ouais, tout un programme. Donc ces dames porteuses d’enfants, gérantes de la boutique « grimpage aux rideaux », ont l’avantage naturel de cette situation et gèrent pragmatiquement tout ça comme Harpagon sous des dessous Victoria Secret. Ainsi, la « femelle » actuelle : nous avons un petit mecton à poitrine à deux bonnets avec nous, en string et tout en gueule, rien dans la tripe, trouillarde bien souvent, qui veut être « protégée » et qui nous saoule, nous saoulent. L’énorme majorité des males français et américains qui vivent en couple doivent fermer leur gueule sous risque de : ce soir tu dors dans l’canapé ; si elle est hystérique t’as intérêt à filer de la maison, sinon, à bout de nerf si tu la pousses d’un cheveux de millimètre ; c’est la taule et les tôles ont du lait ; et puis le chantage aux mômes que tu n’reverras jamais… Et lorsqu’enfin t’as largué la mégère, que ta pension alimentaire va te saigner jusqu’à la fin de l’éternité, et que t’as été assez con pour te refoutre avec une autre grognassée du même tonneau, ben alors, t’en as deux à subir. Pas étonnant que les hommes vivent 10 ans de moins que les femmes.

Les hommes devraient jouer au pénis ailleurs

Allons ! (et je m’inclus) allons, chercher une compagne sous d’autres cieux plus cléments. Ceux qui peuvent vraiment banquer font dans la fille de l’est. Chez elles bien souvent et c’est vrai, la Vodka tue les hommes dès 35 ans ; donc, une jolie femme ingénieur, parlant 4 langues voulant se caser avec un homme qui ne la battra pas, la respectera et lui fera des enfants sains et + de + ira au taf tous les jours… et rapportera la thunes à l’écurie… Ben, les jolies très belles Slaves sont prêtes à ouvrir toutes les cuisses que vous voudrez… Et ainsi descendons nous dans la chaine du cric-crac et + si affinités. Les Cubaines au déhanché, les africaines (ha ! ces culs !!!) et les si féminines, douces et sensuelles femmes d’Asie. J’ai vécu 1 an et demi avec une Thaïlandaise lorsque j’habitais là bas[3] Ya pas photo Mesdames! J’ai été heureux, considéré et respecté. Jamais ! et je dis bien jamais j’ai eu droit à des gueulantes dingottes ; pourtant, j’ai le caractère soupe au lait. La femelle d’Occident, du haut de « sa supériorité » dira à chaque fois: « Oui, mais les femmes asiatiques sont soumises… » haha ! Jamais vu des filles aussi fortes et déterminées. Si tu ne fais pas le con, tu vis avec un ange, si tu déconnes en la trompant, tu dégages dans la seconde ; y’a pas de seconde chance ! Quant au lit… Nuit de chine, nuits d’amour comme susurre la chanson… Pas photo dans l’méli mélo des drapés !

Chère backpakeuse

Vois-tu la vie n’est pas comme tu penses à ton âge merdouillant. Ya un moment où il faut que tout homme baisse sa garde, qu’il se fasse une raison ; pourtant, à chaque instant ton sang coule, ta vie explose, tes désirs éclosent. Mais, dans NOTRE monde à nous on te demande à un moment de te taire, de te faire discret, tu es vieux, faut mourir sans aucun bruit, en dignité, je dirais en catimini presque, en douce, tout ça glissé sous le tapis ; Ya plus rien ou plus grand-chose dans le citron, que pourtant cette société à pressée, à pressée, d’ailleurs, nous, les hommes vieux t’avons élevés, toi jeune fille et ta génération… Mais un jour, tu te retrouves seul, tes cheveux sont blancs, tes muscles flagada, dans un petit bocson de Phnom pen, avec une gamine de 20 ou 30 ans, avec qui tu ne feras pas des étincelles, au mieux, des erzag d’élans ; tu n’en es plus capable ; mais elle, te donnera un instant furtif l’impression d’être redevenu un homme saillant, vif argent, comme dans tes vertes années envolées ; un homme d’amour… Un tout petit peu… Et ça suffit !

Pourtant.

Georges Zeter/Mars 2014

Ps : Mille excuses à mes amies de + 40 de + de 50 ans que j’aime. Ce n’est pas de vous dont je parlais, mais de ces… Bref, je sais que vous m’avez compris. Besos mucho !


[1]http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Houellebecq

[3] Je vous attend !: j’ai voulu me marier, mais impossible de la sortir du pays mabelle.


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