Mélissa Theuriau

Mélissa Theuriau. Ce matin, j'ai eu envie de frapper fort  dès le début de ma chronique. C'est pourquoi j'ai noté Mélissa Theuriau, n'en déplaise à Jamel. Il y a deux semaines, sur France Inter, j'ai entendu un journaliste s'extasier sur sa consoeur Mélissa. Sur ses qualités de personne intègre et engagée, mais aussi et surtout sur sa beauté. Et puis il y avait la voix de Mélissa et ses propos très clairs, très suaves. Pour mieux saisir la portée de cette interview radiophonique, j'ai googlé le nom, et c'est ainsi que j'ai eu une révélation. Je me suis alors fait la promesse de faire une place pour la jeune journaliste sur mon blog. C'est fait.Il y aurait aussi Barbara Carlotti, mais ce sera pour une autre fois.Tiens, pour changer de sujet et relancer le débat, en ce moment je lis Anna Karenina, de Tolstoi. Époustouflant. Je suis scotché. J'ai presque atteint la moitié du roman. Cela dit, je reviens à Mélissa Theuriau: ce qui serait cool, c'est que je puisse l'interviewer un jour, ou lui faire un portrait.
P.s.: exceptionnellement pas d'image pour ce billet. Faites votre recherche vous-même, je ne peux quand même pas tout faire pour vous!