Barbara Kanam
Elle vient de la République démocratique du Congo (RDC). Ce fut un moment indicible. L’instant T sur lequel on peut tout imaginer, le passé, le présent et le futur. En effet, on aurait souhaité, sur DIAF TV, que cet instant reste éternel. Que le temps suspende son vol pour l’avoir ad vitam aeternam avec nous. Mais qui donc ? Simplement Barbara Kanam. Hélas, non, impossible, comme ce monument immatériel, insondable qu’on espère toucher, comme le ciel qu’on veut tutoyer. Le graal en somme. Mais, rencontrer cette jeune femme talentueuse, belle, accessible et surtout travailleuse vous fait un choc mais, rassurez-vous, c’est un volcan de tendresse. Son charisme vous emporte dans un tourbillon indescriptible. Loquace à souhait, elle vous transperce le cœur par l’émotion qu’elle dégage. Elle vous inocule un virus, celui de la musique.
Barbara Kanam, aujourd’hui, c’est l’alpha et l’oméga de la musique africaine côté féminin. Le nec plus ultra en matière musicale. Elle sait tout faire: chanter, danser, composer. Une voix mielleuse et drôlement sympathique qui vous transporte dans les entrailles mêmes de la forêt africaine, de l’Europe, de l’Amérique. Une voix qui peut tout chanter, du Jazz à la Rumba, de la Salsa au Funk; du Zouk à la Pop, et du Makossa au Reggae etc… Vous l’aurez compris, sa musique un savant mix, un mélange de tout ce qui se fait de mieux actuellement. Mais, une musique intemporelle, comme l’incontournable "Djarabi", probablement la chanson à la rythmique inspirée des dieux, de Dieu. Avec son naturel à faire pâlir de rage les poupées Barbie -suivez mon regard-, cette princesse du Congo est une étoile, le must, la quintessence même d’une artiste, un don divin. Ses nombreux prix remportés ici et là sont bien la preuve de la puissance vocale et de la force musicale de l’oeuvre de cette chanteuse de talent…
Barbara Kanam, avec son côté très glamour, sobre mais classe et chic, jamais vulgaire, est unique. Simplement…
Pour vous, nous l’avons rencontré. Un très grand moment, que dis-je, un moment de grâce.
Kanamement vôtre !
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