“The deep roots never doubt spring will come.”
(Marty Rubin)
“The air's warm with hopeful hints of spring in it. Spring would be a good time for an uprising, I think. Everyone feels less vulnerable once winter passes.”
(Suzanne Collins, Catching Fire)
“Podrán cortar todas las flores, pero no podrán detener la primavera.”
“You can cut all the flowers but you cannot keep spring from coming.”
(Pablo Neruda)
“No other woman had that air of spring in January, that ever-bubbling fount of love and hope.”
(Rosalind Miles, The Child of the Holy Grail)
“It was the best of times, it was the worst of times,
It was the age of wisdom, it was the age of foolishness,
It was the epoch of belief, it was the epoch of incredulity,
It was the season of light, it was the season of darkness,
It was the spring of hope, it was the winter of despair”
(Charles Dickens, A Tale of Two Cities)
“What I need is the dandelion in the spring. The bright yellow that means rebirth instead of destruction. The promise that life can go on, no matter how bad our losses. That it can be good again.”
(Suzanne Collins, Mockingjay)
« Les racines profondes ne doutent jamais de l’arrivée du printemps. »
(Marty Rubin)
« L'air tiède sent déjà le printemps. Le printemps serait le moment idéal pour un soulèvement, me dis-je. On se sent toujours moins vulnérable après la fin de l'hiver. »
(Suzanne Collins, Hunger Games – L’embrasement)
« On peut couper toutes les fleurs, mais on ne peut pas arrêter le printemps. »
(Pablo Neruda)
« Aucune autre femme n’a cet air de printemps en janvier, cette fontaine débordant toujours d’amour et d’espoir. »
(Rosalind Miles, The Child of the Holy Grail)
« C’était la meilleure des époques, c’était la pire des époques,
C’était un âge de sagesse, c’était un âge de folie,
C’était l’ère des croyances, c’était l’ère de l’incrédulité,
C’était la saison de la lumière, c’était la saison de l’obscurité,
C’était le printemps de l’espoir, c’était l’hiver du désespoir. »
(Charles Dickens, Le Conte de deux cités)
« Ce qu'il me faut, c'est le pissenlit du printemps. Le jaune vif qui évoque la renaissance plutôt que la destruction. La promesse que la vie continue, en dépit de nos pertes. Qu'elle peut même être douce à nouveau. »
(Suzanne Collins, Hunger Games – La Révolte)