La grâce de l'aqueduc du 8 au 12 mai nous a permis de partir, enfin !, présenter le dernier (en date) arrière-petit-fils à son arrière-grand-père auvergnat.
J'avoue être chaque jour surpris par Solal. Prendre l'avion à quatre mois et demi (un bi-turbopropulseur vibrant et chuintant - ATR 42 pour les connaisseurs) n'est pas médicalement contre-indiqué, mais comment allait-il supporter le bruit de l'aéroport, les formalités de sécurité, l'envol, le vol, l'atterrissage, le transbahutage en taxi,…