Cette fois encore Guillaume m’a grugée !
Je n’ai rien vu venir…
Shame on me, moi qui lis en général chaque livre de Guillaume (oh ben oui, à force de le lire, c’est un peu comme si je le connaissais, j’ai même écrit une nouvelle sur une fan hystérique persuadée qu’il l’aimait, qui vire en drame, vous vous en doutez), donc en général je les lis en deux jours, mais là il m’en aura fallu quatre, bronchite oblige (lire avec la fièvre, le nez qui coule, les poumons qui se prennent pour un pinson, ça le faisait vraiment pas).
Et je n’ai rien vu venir, rien soupçonné.
Dès la première page, j’ai été emportée par ce thriller surnaturel : elle était à Paris la veille, lui à Dublin, ils se réveillent menottés l’un à l’autre, au cœur de Central Park.
Comme auraient dit Les inconnus « mais kessepastil mais kessepastil mais kesskisepasse ? »
Bien malin qui pourrait le deviner… de fausse piste en fausse piste, me voilà entraînée dans un thriller palpitant, vers un final que je n’avais jamais imaginé, chapeau. Un final qui m’a fait verser de grosses larmes, de fin d’angoisse, de fin de livre, de séparation d’avec ces personnages au passé trouble, auxquels je m’étais attachée, au long de ces près de 400 pages.
Encore une réussite que ce nouveau titre de Guillaume Musso, mais j’avoue que je n’en doutais pas un seul instant, quand on aime, c’est pour la vie… Si vous aimez les précédents ouvrages de Guillaume, plongez dans cette faille spatiale, presque spatio-temporelle (j’adore ce mot, j’en rêve, de plonger un jour dans une faille spatio-temporelle) sans aucune hésitation, vous m’en direz des nouvelles…
Même mon toutnu a adoré…
Acheter Central Park
Cette fois encore Guillaume m’a grugée !
Je n’ai rien vu venir…
Shame on me, moi qui lis en général chaque livre de Guillaume (oh ben oui, à force de le lire, c’est un peu comme si je le connaissais, j’ai même écrit une nouvelle sur une fan hystérique persuadée qu’il l’aimait, qui vire en drame, vous vous en doutez), donc en général je les lis en deux jours, mais là il m’en aura fallu quatre, bronchite oblige (lire avec la fièvre, le nez qui coule, les poumons qui se prennent pour un pinson, ça le faisait vraiment pas).
Et je n’ai rien vu venir, rien soupçonné.
Dès la première page, j’ai été emportée par ce thriller surnaturel : elle était à Paris la veille, lui à Dublin, ils se réveillent menottés l’un à l’autre, au cœur de Central Park.
Comme auraient dit Les inconnus « mais kessepastil mais kessepastil mais kesskisepasse ? »
Bien malin qui pourrait le deviner… de fausse piste en fausse piste, me voilà entraînée dans un thriller palpitant, vers un final que je n’avais jamais imaginé, chapeau. Un final qui m’a fait verser de grosses larmes, de fin d’angoisse, de fin de livre, de séparation d’avec ces personnages au passé trouble, auxquels je m’étais attachée, au long de ces près de 400 pages.
Encore une réussite que ce nouveau titre de Guillaume Musso, mais j’avoue que je n’en doutais pas un seul instant, quand on aime, c’est pour la vie… Si vous aimez les précédents ouvrages de Guillaume, plongez dans cette faille spatiale, presque spatio-temporelle (j’adore ce mot, j’en rêve, de plonger un jour dans une faille spatio-temporelle) sans aucune hésitation, vous m’en direz des nouvelles…
Même mon toutnu a adoré…
Acheter Central Park