Justice sociale : un vrai leurre
A propos de la justice sociale.
- Peut-on parler de justice sociale quand la sécurité sociale en faillite continue de payer en Algérie, sans le moindre contrôle, des retraites à d’innombrables plus que centenaires disparus depuis des lustres ?
- Peut-on parler de justice sociale quand on repousse l’âge légal de la retraite alors que tout étranger de 65 ans n’ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite de 780 € par mois dès son arrivée ?
- Peut-on parler de justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la ferme, n’a pas droit à ces 780 € au prétexte que son mari et elle dépassent le plafond de 1200 € de minimum vieillesse pour un couple ?
- Peut-on parler de justice sociale quand l’Aide Médicale d’Etat soigne chaque année 220000 sans papiers n’ayant jamais cotisé, à raison de 3500 € par malade, alors que la sécurité sociale ne dépense « que » 1600 € par affilié qui travaille et cotise ?
- Peut-on parler de justice sociale quand le président algérien vient se faire soigner gratuitement en France alors qu’il n’a jamais cotisé à la SS ?
- Peut-on parler de justice sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d’une mutuelle gratuite, alors que 5 millions de Français n’ont pas de mutuelle, trop riches pour bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s’en payer une ?
- Peut-on parler de justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale sont en circulation et permettent de soigner des milliers d’étrangers sous une fausse identité, au détriment des ayant-droit ?
- Peut-on parler de justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames, certains d’entre eux percevant plus de 10 000 € par mois sans travailler (comme celui-là qui a une dizaine de femmes et 43 enfants !), alors que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?
- Peut-on parler de justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire pour un logement social, alors qu’un jeune couple français doit attendre sept ou huit ans son premier logement pour avoir un enfant ?
- Peut-on parler de justice sociale quand on sait qu’un million de faux passeports, donnant droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports biométriques soi-disant « infalsifiables » ?
- Peut-on parler de justice sociale quand un Français né à l’étranger doit prouver sa nationalité à l’administration, ce qui se traduit souvent par un véritable parcours du combattant, alors qu’on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages blancs ?
- Peut-on parler de justice sociale quand on accueille chaque année plus de 200 000 étrangers non qualifiés, dont notre économie n’a nul besoin, alors que la pauvreté augmente, que nous avons près de 5 millions de sans emploi et que le chômage atteint déjà 40% chez la population immigrée ?
- Peut-on parler de justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti Français est systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?
- Peut-on parler de justice sociale quand on condamne un journaliste qui avait énoncé une vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs, vomissant la haine sur les Français, ne sont jamais inquiétés au nom de la liberté d’expression ?
- Peut-on parler de justice sociale quand la délinquance explose et que les droits des délinquants passent avant ceux des victimes et que la ministre de la Justice ne veut pas les mettre en prison ?
Et pour terminer sur un trait d’humour :
"L’esprit a beau faire plus de chemin que le cœur, il ne va jamais aussi loin !" (proverbe chinois).
Roban
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Communication importante :
Les 10 raisons édifiantes qui ont contribué à la création de
- les politiques ne nous écoutent pas,
- les politiques sont méprisants,
- les politiques ne savent que créer des lois contraignantes ou jamais appliquées,
- les politiques ne s’occupent sitôt élus que de leur réélection,
- les politiques créent à outrance des taxes et des impôts,
- les politiques nous ôtent le pouvoir d’achat,
- les politiques sont incapables de créer de l’emploi,
- les politiques sont mous et laissent tout faire,
- les politiques n’ont pas de vision,
- et le pire les politiques réduisent notre liberté !