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SCHIZOPHRÉNIE. Ukraine: Barack Obama ferait mieux de se défenestrer que de délirer

Publié le 17 avril 2014 par Menye Alain

OBAMA

La Maison Blanche "travaille activement" pour des nouvelles sanctions contre la Russie. Ne peuvent-ils pas les appliquer à eux-mêmes ? Là, franchement, on est en plein délire schizophrénique. Sachant que la schizophrénie est une maladie mentale se développant généralement au début de la vie adulte, on est en plein dans le mille avec Barack Obama et ses sous-fifres. En fait, la schizophrénie est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants.

Même des gamins, à part être des attardés mentaux, savent ce qui se passe en Ukraine actuellement. Ce sont des  femmes, des enfants, des vieillards et des jeunes qui disent non au fascisme décliné, ici, en démocratie. Obama et ses amis n’ont pas vu ces femmes stopper des chars avec des bibles à la main, leur seule arme ? Obama et ses amis n’ont-ils pas vu ces soldats déposant les armes devant une foule pacifique ? Non, ils ont vu des Russes. Ils les voient partout, même à Kiev. Et pourquoi pas à la Maison Blanche pendant qu’on y est ?

La défaite cuisante qu’ils viennent d’avoir dans l’est de l’Ukraine alors qu’ils avaient honteuse validé l’opération dite "anti-terroriste" les pousse dans l’irrationnel le plus total. Un delirium tremens aussi pathétique que triste. Dans leur obsession à vouloir imposer leur vision sociétale à géométrie variable. Refusant d’appliquer les accords de Kiev du 21 février, ils ont validé un putsch, soutenu le terrorisme, l’antisémitisme et le reste, juste pour faire triompher leurs idées. Hélas, malgré leur déterminisme abscons, les mêmes causes produisant les mêmes effets,  leur déstabilisation de l’Ukraine leur retombe dessus. Effet boomerang et contrecoup dévastateur pour leurs idéaux.

Ils sont tellement convaincus par leurs propres mensonges qu’il est difficile de les arrêter. L’antéchrist Barack Obama se comporte comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Comme tout bon américain en somme, se croyant tout permis. Ces gens-là sont dans une dynamique qui ne s’inscrit que sur deux concepts ou schèmes: le bruit et la fureur.  Incapables d’appliquer leur second syncrétisme à la Russie, c’est à dire la fureur, sachant que ce n’est ni la Syrie ni la Libye, il ne leur reste que le bruit. Ils en usent, abusent. Dans une fuite en avant perpétuelle mâtinée de malhonnêteté intellectuelle, ils pérorent mais ils sont nus. Nul n’est dupe !

Si ces aboyeurs avaient au moins lu "La mort du loup" d’Alfred de Vigny, ils allaient comprendre que pleurer, crier, gémir sont des actes d’une lâcheté indicible. Vladimir Poutine le président russe agit. Il leur a répondu tout à l’heure du Kremlin. En voulant par la force entrer par effraction dans la tête des autres, ils projettent leurs propres fantasmes sur eux et leurs prêtent des intentions aussi scabreuses que leurs idées nauséabondes. Barack Obama ferait mieux de se défenestrer que de délirer et d’empester l’air avec ses jérémiades. Que ses amis suivent le même chemin…

J’avoue avoir honte pour les journalistes qui relaient honteusement la propagande de leurs différents Gouvernements.


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