« Le dimanche on lit au lit ».
"Avant toi" sera sans doute mon coup de cœur de 2014, même si nous ne sommes pas encore en mai.
Et un fameux coup de cœur, le genre de livre qui t’accroche dès la quatrième page (ouais, je me dois d’être honnête, j’ai dû relire les trois premières, car j’avais l’esprit ailleurs, et j’avais mal suivi le fil de l’histoire), et quand elle t’accroche, elle ne te lâche plus, elle fait que tu lis sur le pont du bateau (croisière, encore et toujours), dans ta cabine, dans les toilettes de ta cabine, bref à chaque moment libre entre les obligations du voyage telles excursions, balades, massages, cocktails et repas (et je dis sciemment « obligations », car j’ai connu deux ou trois moments, vers la fin de l’ouvrage, où m’en séparer était un déchirement, même pour aller vaquer à des occupations somme toute génialissimes).
Je ne connaissais pas Jojo Moyes, et n’ai qu’une envie : lire tous ses livres. Malheureusement, très peu sont encore traduits, sacrebleu.
Mais ça parle de quoi, me direz-vous, ce livre que j’encense depuis 13 lignes ?
Le pitch : Lou est une fille ordinaire qui mène une vie monotone dans un trou paumé de l'Angleterre dont elle n'est jamais sortie. Quand elle se retrouve au chômage, elle accepte un contrat de six mois pour tenir compagnie à un handicapé. Malgré l'accueil glacial qu'il lui réserve, Lou va découvrir en lui un jeune homme exceptionnel, brillant dans les affaires, accro aux sensations fortes et voyageur invétéré. Mais depuis l'accident qui l'a rendu tétraplégique, Will veut mettre fin à ses jours. Lou n'a que quelques mois pour le faire changer d'avis.
Très vite, Lou devient votre meilleure amie, vous devez Lou, vous ressentez Lou, vous vivez la vie de Lou, sa rencontre avec Will, la vie étrange qu’ils vont mener, lui désabusé par l’existence, elle désabusée par ce rustre dont elle doit s’occuper, puis cet apprivoisement, lent, très lent, mais si touchant, comme cet ouvrage qui m’a fait passer du rire aux larmes, et quelles larmes, les gros sanglots bruyants, toujours dans la cabine du bateau, avec nez rouge et yeux gonflés pour aller ensuite au repas de gala…
Si vous avez envie de vibrer cet été, je ne peux que vous conseiller cette lecture…
En plus, il est en format poche, donc pas cher ma bonne Dame.
« Le dimanche on lit au lit ».
"Avant toi" sera sans doute mon coup de cœur de 2014, même si nous ne sommes pas encore en mai.
Et un fameux coup de cœur, le genre de livre qui t’accroche dès la quatrième page (ouais, je me dois d’être honnête, j’ai dû relire les trois premières, car j’avais l’esprit ailleurs, et j’avais mal suivi le fil de l’histoire), et quand elle t’accroche, elle ne te lâche plus, elle fait que tu lis sur le pont du bateau (croisière, encore et toujours), dans ta cabine, dans les toilettes de ta cabine, bref à chaque moment libre entre les obligations du voyage telles excursions, balades, massages, cocktails et repas (et je dis sciemment « obligations », car j’ai connu deux ou trois moments, vers la fin de l’ouvrage, où m’en séparer était un déchirement, même pour aller vaquer à des occupations somme toute génialissimes).
Je ne connaissais pas Jojo Moyes, et n’ai qu’une envie : lire tous ses livres. Malheureusement, très peu sont encore traduits, sacrebleu.
Mais ça parle de quoi, me direz-vous, ce livre que j’encense depuis 13 lignes ?
Le pitch : Lou est une fille ordinaire qui mène une vie monotone dans un trou paumé de l'Angleterre dont elle n'est jamais sortie. Quand elle se retrouve au chômage, elle accepte un contrat de six mois pour tenir compagnie à un handicapé. Malgré l'accueil glacial qu'il lui réserve, Lou va découvrir en lui un jeune homme exceptionnel, brillant dans les affaires, accro aux sensations fortes et voyageur invétéré. Mais depuis l'accident qui l'a rendu tétraplégique, Will veut mettre fin à ses jours. Lou n'a que quelques mois pour le faire changer d'avis.
Très vite, Lou devient votre meilleure amie, vous devez Lou, vous ressentez Lou, vous vivez la vie de Lou, sa rencontre avec Will, la vie étrange qu’ils vont mener, lui désabusé par l’existence, elle désabusée par ce rustre dont elle doit s’occuper, puis cet apprivoisement, lent, très lent, mais si touchant, comme cet ouvrage qui m’a fait passer du rire aux larmes, et quelles larmes, les gros sanglots bruyants, toujours dans la cabine du bateau, avec nez rouge et yeux gonflés pour aller ensuite au repas de gala…
Si vous avez envie de vibrer cet été, je ne peux que vous conseiller cette lecture…
En plus, il est en format poche, donc pas cher ma bonne Dame.