HOLLANDE : Un fromage croute molle
… bien coulant, à bonne pate, fermenté, caillé à souhait et des adjectifs de la même futaies pourraient être accrochés aux basques de « not » président de gôche.
Pire qu’une savonnette mouillée l’François, ça vous glisse entre les doigts, impossible de tenir la « chose », ça rip&zip et va de l’autre coté, en général sous le meuble porte- serviette ; ce n’est pas un président élu, mais une douche à massages giratoires qui habite l’Elysée. François Hollande, l’élu p’tit biscuit au beurre de paires de charentaises !!!
Avec l’Sarkozy, c’est un ado attardé qui faisait du roller dans les couloirs du palais sous les désaccords guitaresques de Carla ; avec l’Hollande, c’est les aventures de pato le coincoin dans le bac à sable, et la Valérie vache qui rie. Dire que ces deux animaux pipeolitiques ont été élus au suffrage universel direct au foie ; donne : n’oubliez pas de tirer la chasse d’eau, sans oublier dame pipi !
Si on les regarde, apparemment zont rien en commun, mais d’un peu plus près : deux rase-mottes, deux « hommes à femme », deux, qui mentent plus vite que leur ombre, deux, qui ne regardent jamais les gens en face, deux : qui ne font qu’un en sorte ; des clones avortés, mais des clowns patentés.
L’François, fait un gros con-plexe avec Tonton François Mitterrand ; sauf que ? N’a ni le bagou, ni le charisme et charlatanisme, ni la manière, ni, ni rien du Grand François le petiot franchounais. L’est pas un fils putatif, atchoum et à vos souhaits !
Un bon exemple, Marcelo Wesfreid de L’Express écrivait fin décembre dernier à propos de l’ambiance au palais présidentiel : « avec François Hollande l’organisation ne garantie à personne un rôle. Le circuit de décision n’est pyramidal que sur le papier. C’est un marécage résume un collaborateur. Tout le monde se bouffe le nez déplore un autre. Le chef de l’état demande à plusieurs personnes de plancher sur le même sujet, comme il a vu François Mitterrand le faire… Le président regarde, sourire en coin, s’agiter tout ce petit monde. Cette sinistrose ne l’affecte pas, lui, le seul vrai maitre à bord. Au cours du dernier trimestre 2013, son emploi du temps fut dominé par les déplacements à l’étranger. Quand il se trouve à paris, il s’oxygène en s’aménageant des escapades discrètes dans la capitale – moins risquées médiatiquement que les déplacements annoncés à l’avance. Il s’exfiltre de la résidence présidentielle, parfois par la grille du Coq, située au fond du parc. Des sorties qui affolent sa sécurité. » - Plus loin - « l’agenda présidentiel est truffé de plages horaires où est indiquée la mention « rendez-vous privé » ; le culte du secret encore ». haha ! T’en foutrais moua le cul du secret ! Lorsque l’on sait ce que voulaient dire aujourd’hui ces « exfiltrations » au fond du parc, ces « RDV privés », ces « escapades discrètes » ; soit ce journaliste est un idiot utile qui sans le savoir avait mis le doigt sur les infidélités du président, soit, comme beaucoup, c’est en langage codé qu’il s’adressait à ses confrères afin de faire comprendre que lui aussi était dans le secret bien gardé des mini-dieu… Quand j’ai lu cet article j’étais mordicus de rire, l’Hollande faisant le mur pour rejoindre sa belle juché à l’arrière du scooter, pour aller tirer son petit coup c’est agréable, et faire risette à sa Julie ; tu parles que les services de sécurit se faisaient du mouron, sont pas cons, savaient bien qu’il allait se faire gauler le cocufieur, d’autant que vu l’ambiance dans la cahute présidentielle, et vue comme la Valérie avait réussie unanimement à se faire détester. Je cite la fin de cet article édifiant sur le quotidien d’un monarque démocrottique : « dans un palais à la dérive, les endroits pour se défouler sont devenus rares – Ceux qui se plaignent sont des chouineurs, déplore un autre collaborateur. S’ils ne sont pas contents, ils n’ont qu’à se renfermer dans les chiottes et pousser un grand cri ! » Tel que ? j’pousse oh hisse la saucisse ! j’pousse, oh, lande mauvaise langue !
Que ce tartufe à la tartiflette de Tulle les eaux de boudin soit l’élu d’une nation au passé prestigieux, un successeur d’un de Gaule… Fouchtra ; j’en aie les seins qui tombent. Quant à « sa » politique ? A par faire des risettes à des Merkel, Obama Netanyahu et autres ténors grands satrapes planétaires, à part vendre le pays aux Qatari, Saoudiens, à part pactiser avec toutes les extrêmes, avec les cloportes, avec les nationaux sociopathes et remettre des rosettes de légion d’honneur mes fesses à tous ces obligés qui fayottent et en même temps nuisent ; et après avoir nommé un Ayrault, roi de l’aéroporc qui pic, et un Manuel Valls qui interprète la valse à l’avers ; et enfin, d’avoir casé la Royale, madame jalousitude ; et l’Harlem désir sous- ministraus : quoiqu’il peut bien nous réserver le président de droite gentille ? La suppression des 5 semaines de congés payés, la fin de la sécu, la signature du traité atlantique, le port du casque intégrale pour traverser les giboulées, diner tous les soirs avec Gattaz, danser le sire et le taki ?
Quoiqu’il veut nous faire couler ce camembert mal fait chevaucheur de starlette ? Certainement pas vers des jours qui chantent, mais, vers une sociale démocratie à la « passez l’pognon & j’tire à vue »
Nicolas Hollande et François Sarkozy sont dans un yacht, qui le 1er tombera à l’eau ? Personne banane ! Ils se tireront avec la caisse, et toi, gros bêta tu seras refait comme un gros Jean 23 ; c’est-à-dire ; connarnifié.
Georges Zeter/Mai 2014
Article paru dans L’Express de décembre 2013 : L’Elysée le château faible : Marcelo Wesfreid.