Qu’y a-t-il de plus beau qu’un cheval qui galope dans sa prairie
Et qui soudain se dresse, ivre d‘être lui-même ?
Qu’y a-t-il de plus beau que des vagues qui déferlent sur une plage
Et qui mugissent sourdement en bouillonnante écume ?
Qui a-t-il de plus beau qu’un merle qui chante au sommet d’un arbre
Et qui exprime tous les matins du monde ?
Qui a-t-il de plus beau qu’une femme qui lit un livre en silence
Et qui rêve qu’elle pourrait être aimée ?
La lectrice