Le Japonais TOSHIBA a un faible pour les légumes. Pas les notables politiques, mais les vrais végétaux. Il s’apprête à cultiver l’équivalent de 3 millions de salades par an, sans pesticides ni autres substances chimiques dans une usine totalement close et aseptisée mais régie par un phénoménal appareillage électronique censé remplacer le savoir-faire humain. L’objectif : réduire le contact avec les particules pour augmenter la conservation des végétaux. On attend avec impatience que la multinationale japonaise se lance dans la culture des légumes « politiques » . Peut-être aurons nous un jour la joie de connaître des gouvernements de longue conservation qui n’auront plus besoin de nous raconter des salades sous couvert de statistiques bidons.