SYRIE. A la veille de l’élection présidentielle, voici la situation qui prévaut le pays

Les liaisons dangereuses entre les  gouvernements pervers totalement inféodés au diktat de Washington et les terroristes, vont les perdre. Au moment où les Syriens de l’étranger ont commencé à voter à travers le monde, sauf en France où le gouvernement viole allègrement la Convention de Vienne du 24 avril 1963 en interdisant les Syriens et Franco-Syriens à élire leur Président dans leurs consulats et ambassades, la Syrie respire. Dans le fait français, il s’agit ni plus ni moins d’une violation de l’extraterritorialité car, une représentation diplomatique est un territoire étranger et par conséquent, ces dernières sont la Syrie et non la France. 

En Syrie, les choses sont entrain de se stabiliser au fil des jours. De Lattaquié à Tartous en passant par Sweida, ces villes sont désormais très sûres. On peut ajouter dans le lot, les villes de Idlib, Hama et Homs, qui ont été libérées, malgré quelques soubresauts à Homs avec des terroristes qui sont en plein désarroi et procèdent à une espèce de baroud d’honneur… Les grandes opérations en cours à Alep et à Damas montrent aussi que plus de 80% de ces deux métropoles syriennes sont désormais sous le contrôle des forces gouvernementales. Daraa et Deir ez-Zor sont sur le point d’être entièrement repris par l’armée arabe syrienne. Des combats s’y poursuivent et les avancées de l’armée significatives.

Finalement, actuellement en Syrie, il n’y a plus que la cité de Raqqah, la seule grande ville syrienne, qui est administrée par les terroristes. Mais, désormais, les groupes terroristes sont coincés et doivent se battre sur 4 fronts: contre l’armée arabe syrienne, l’armée irakienne, les Kurdes et les autres groupes dits «rebelles». Sur place, les populations n’en peuvent plus. Le nouveau code pénal issu du moyen-âge déplaît à la population qui manifeste de façon sporadique. La population regrette amèrement le président Bachar al-Assad. Selon des informations fiables, après la présidentielle, l’armée arabe syrienne mènera une vaste offensive dans la ville. Attendons.

Ces bonnes nouvelles de Syrie rendent fous les gouvernements-caniches des Etats-Unis, qui ont de plus en plus peur du retour de leurs jihadistes encore vivants…