Après la claque… La gifle !
On s’est pris la claque aux municipales
On s’est pris la gifle aux européennes
Persistons jusqu’à la débâcle finale
Notre politique est la seule qui y mène,
Nous ouvrons grandes les frontières
Pour accueillir toute la misère
Lui offrant gîte, couvert et avantages sociaux,
En matraquant les français d’impôts.
Notre politique clientéliste
Qui vise uniquement à nous faire élire
Nous révèle comme de fieffés fumistes
Et le peuple vient de nous éconduire
Alors continuons à matraquer les travailleurs
A fabriquer par jour 1300 chômeurs
A désintégrer le tissu industriel
Et à tirer sur toutes les initiatives personnelles
Continuons à taxer et à surtaxer
Continuons à ergoter et ânonner
Continuons à parler du mythe de la croissance
Et à berner le peuple d’utopiques croyances
Parlons lui d’emploi et détruisons le travail,
De sécurité et libérons les délinquants,
De pouvoir d’achat par… le matraquage fiscal
D’égalité de solidarité en aggravant la discrimination
Détruisons toute velléité de création,
Anéantissons créativité et créateurs
C’est là assurément la meilleure façon
De nous faire éjecter par les électeurs
Toutes les classes s’exilent
Les hauts revenus prennent la fuite
La paupérisation est le nouveau péril,
"Sauve qui peut" crient nos élites !
Ne restent en France que les plus démunis,
Qui vivent sur le dos de ceux qui travaillent
Dont le nombre de plus en plus réduit,
Accroit sur les survivants la pression fiscale
Même les retraités ne sont pas épargnés,
du moins pour ceux qui en perçoivent une
Leur pension est aussi surimposée
La misère est le nouveau canon de la fortune
Avec tout cela, c’est sûr, on va prospérer,
Au moyen de slogans et de propagande
La Presse asservie est totalement muselée,
La crise c’est l’hypocrisie qui plombe la confiance.
Pour distribuer il faut d’abord produire
Rétribuer à leur mérite ceux qui travaillent
Et non pas décourager et anéantir,
En prétendant conduire une politique sociale,
Alors messieurs les parangons de la vertu
Messieurs les humanistes au grand coeur
Verser donc et partagez vos revenus
Vos privilèges, vos prébendes et vos somptueuses demeures,
A défaut, admettez que vous n’êtes que des hypocrites,
Et que le coup de balai des électeurs,
C’est tout ce que votre engeance mérite,
Les larmes de crocodile ne sont pas des pleur
Ainsi parla le ZOUNG©
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***
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