Je dis le plus paresseux parce qu’il ne débourre que début juin ! Si vous venez de le planter, vous vous affolez. Si vous habitez au nord de la Loire, vous vous dites que ce méditerranéen n’a pas survécu à l’hiver. Impossible
Ziziphus jujuba résiste à tout, au froid, à la sécheresse, aux inondations. Pour le prouver, je vais vous raconter ses aventures chez moi.
Pour le froid, je n’ai pas de preuves, il n’a jamais subi au-delà de -10°C mais il est connu pour résister à -17°C voire pire.
Pour la sécheresse : il y a longtemps, j’ai eu un jujubier. Mon fils l’avait ramené de ses vacances en Espagne. Il avait parcouru plus de 1 000km en plein mois de juillet toutes racines à l’air sur le toit d’une voiture. Et il a repris et même fleuri (des fleurs minuscules, il faut les chercher pour les voir). Il a vécu 3 ou 4 ans dans le sable, sans précautions. Il est mort en été, de soif ou de faim. Je ne l’avais jamais arrosé le sachant résistant à la sécheresse mais plusieurs mois d’été sans pluie dans le sable pur lui avaient sans doute fait rencontrer ses limites.
La résistance aux inondations : ceux qui lisent régulièrement mon blog savent que le terrain a subi 6 semaines d’inondation continue, l’eau 40cm au-dessus du niveau du sol, en mai-juin 2013 puis 4 semaines en octobre-novembre. Alors que mes dernières photo de la première inondation sont du 6 juin, voici une photo de ‘Lang’ le 5 juin2013, encore les pieds dans l’eau :
Et le 12 juin 2013 :
Il est vrai que cette année-là a été difficile et il n’a pas beaucoup grandi. Mais le voici maintenant, le 8 juin 2014 alors qu’il a encore subi depuis la deuxième inondation :
J’avais planté aussi ‘Li’ et il avait aussi bien résisté. Je ne vous le montre pas parce qu’il m’a été volé fin 2013. Le seul fléau auquel il ne résiste pas, c’est la racaille de Romilly.
Je dis le plus paresseux parce qu’il ne débourre que début juin ! Si vous venez de le planter, vous vous affolez. Si vous habitez au nord de la Loire, vous vous dites que ce méditerranéen n’a pas survécu à l’hiver. Impossible
Ziziphus jujuba résiste à tout, au froid, à la sécheresse, aux inondations. Pour le prouver, je vais vous raconter ses aventures chez moi.
Pour le froid, je n’ai pas de preuves, il n’a jamais subi au-delà de -10°C mais il est connu pour résister à -17°C voire pire.
Pour la sécheresse : il y a longtemps, j’ai eu un jujubier. Mon fils l’avait ramené de ses vacances en Espagne. Il avait parcouru plus de 1 000km en plein mois de juillet toutes racines à l’air sur le toit d’une voiture. Et il a repris et même fleuri (des fleurs minuscules, il faut les chercher pour les voir). Il a vécu 3 ou 4 ans dans le sable, sans précautions. Il est mort en été, de soif ou de faim. Je ne l’avais jamais arrosé le sachant résistant à la sécheresse mais plusieurs mois d’été sans pluie dans le sable pur lui avaient sans doute fait rencontrer ses limites.
La résistance aux inondations : ceux qui lisent régulièrement mon blog savent que le terrain a subi 6 semaines d’inondation continue, l’eau 40cm au-dessus du niveau du sol, en mai-juin 2013 puis 4 semaines en octobre-novembre. Alors que mes dernières photo de la première inondation sont du 6 juin, voici une photo de ‘Lang’ le 5 juin2013, encore les pieds dans l’eau :
Et le 12 juin 2013 :
Il est vrai que cette année-là a été difficile et il n’a pas beaucoup grandi. Mais le voici maintenant, le 8 juin 2014 alors qu’il a encore subi depuis la deuxième inondation :
J’avais planté aussi ‘Li’ et il avait aussi bien résisté. Je ne vous le montre pas parce qu’il m’a été volé fin 2013. Le seul fléau auquel il ne résiste pas, c’est la racaille de Romilly.