L'oranger des Osages, les fleurs

Publié le 12 juin 2014 par Sambuca

Je vous avais montré le Maclura pomifera de Paris mais je ne l’avais remarqué qu’à la période des fruits. Les fleurs sont vraiment très discrètes.

Cette fois nous sommes de nouveau au Jardin Botanique de Marnay sur Seine. On a attiré mon attention sur sa floraison, sinon je ne l’aurais pas remarqué. Le seul que j’ai pu photographier en entier, c’est le mâle, parce qu’il est bien isolé sur une butte :

Ses fleurs mâles minuscules sont regroupées en grappes :

La femelle, plus âgée, est moins fleurie sans doute parce qu’elle est un peu étouffée par des arbustes qui l’enserrent mais elle commence à s’en dégager en les dépassant en hauteur. La fleur que j’ai photographiée se trouve sur une branche haute. De la même couleur que le feuillage, je ne l’aurais pas vue si on ne m’y avait aidée. C’est une masse ronde de fleurs agglutinées dont les longs stigmates dépassent :

Pour la suite de l’histoire, la formation des fruits, je reprends les photos de l’arbre femelle du Jardin des Plantes de Paris, un 15 juillet. Ce n’est pas un fruit simple mais une agglomération de fruits :

Le 24 septembre, je retrouve tous les fruits au sol :

Une belle écorce :

Je vous avais montré le Maclura pomifera de Paris mais je ne l’avais remarqué qu’à la période des fruits. Les fleurs sont vraiment très discrètes.

Cette fois nous sommes de nouveau au Jardin Botanique de Marnay sur Seine. On a attiré mon attention sur sa floraison, sinon je ne l’aurais pas remarqué. Le seul que j’ai pu photographier en entier, c’est le mâle, parce qu’il est bien isolé sur une butte :

Ses fleurs mâles minuscules sont regroupées en grappes :

La femelle, plus âgée, est moins fleurie sans doute parce qu’elle est un peu étouffée par des arbustes qui l’enserrent mais elle commence à s’en dégager en les dépassant en hauteur. La fleur que j’ai photographiée se trouve sur une branche haute. De la même couleur que le feuillage, je ne l’aurais pas vue si on ne m’y avait aidée. C’est une masse ronde de fleurs agglutinées dont les longs stigmates dépassent :

Pour la suite de l’histoire, la formation des fruits, je reprends les photos de l’arbre femelle du Jardin des Plantes de Paris, un 15 juillet. Ce n’est pas un fruit simple mais une agglomération de fruits :

Le 24 septembre, je retrouve tous les fruits au sol :

Une belle écorce :