Imaginez que lors d’un voyage en avion, une personne gravement malade est présente, porteuse d’un virus tel l’ebola. L’avion est le meilleur terrain possible pour une prolifération de ce virus meurtrier.
Vous ne vous apercevriez de rien, du moins pendant quelques jours, entre 4 et dix pour être plus précis. Et pendant ce temps, le virus que vous avez attrapé fait tranquillement son chemin au sein de votre organisme, sans que vous ayez conscience de sa présence. Puis une légère fièvre, ainsi que quelques courbatures apparaîtront, et vous pensez tout de suite à un rhume, mais pendant ce temps, vous êtes un potentiel vecteur de ce virus, contaminant votre famille, vos ami(e)s et collègues. Puis vous commencerez à avoir des diarrhées accompagnées de sérieuses douleurs abdominales, puis vous vous mettrez à vomir. Les difficultés à respirer feront leur apparition et votre sang cessera de coaguler. Enfin, vos organes commenceront à saigner. Vous êtes désormais un virus , devenant le vecteur d’une pandémie dévastatrice.L’augmentation du touriste est un vrai bonheur pour ce type de virus, lui laissant la possibilité, si facile, de parcourir le monde, laissant dans son sillage des centaines, voire des milliers de victimes. Une possible diffusion planétaire de virus mortel est maintenant établie, rien de bien réjouissant.Magazine Humeur
Nul n’est à l’abri d’une maladie, et encore moins d’un virus.
Publié le 18 juin 2014 par LavoixduveilleurSes derniers articles
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