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Dracunculus vulgaris

Publié le 26 juin 2014 par Sambuca

Cet arum étonnant à la fleur extraordinaire est planté sur mon terrain de Veneux depuis environ 10 ans mais il y souffre. On dit qu’il a besoin d’un terrain léger et drainé mais le sable, c’est sans doute trop. Sur les sites en anglais, on parle de sol humide et je crois en effet qu’il a besoin d’humidité pendant la période de végétation, davantage de sécheresse en période de repos végétatif, c’est à dire après la floraison en été et en début d’hiver. Dès qu’il apparait en février, je l’arrose mais cela ne semble pas suffire, il se couche et sa fleur au sol fait peine à voir. Le voici à Veneux, la floraison est la dernière qui s’est tenue debout, en 2011, mais la spathe ploie. Il pointe le 21 février entre des feuilles d’Arum italicum :

1 dracunculus veneux 21 fev 2014 008.jpg

Le 5 mars :

2 dracunculus veneux 5 mars 2014 007.jpg

Début avril :

3 dracunculus 2 avril 048.jpg

4 dracunculus 5 avril 006.jpg

Le 28 mai :

5 dracunculus mai 2011 004.jpg

Le voici à Marnay le 12 juin :

6 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (1).jpg

7 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (2).jpg

8 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (4).jpg

9 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (3).jpg

10 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (5).jpg

11 dracunculus vulgaris marnay 1 juin 2013 023.jpg

dracunculus vulgaris marnay 1 juin 2013 024.jpg

Je crois qu’il sera souhaitable que je le transplante à Romilly cet automne, le terrain est semblable à celui de Marnay, il ne dessèche pas.

On dit qu’il pue. C’est pour plaire aux mouches mais je vous assure que lorsqu’il est planté au milieu du jardin, on ne s’en rend pas compte.

Cet arum étonnant à la fleur extraordinaire est planté sur mon terrain de Veneux depuis environ 10 ans mais il y souffre. On dit qu’il a besoin d’un terrain léger et drainé mais le sable, c’est sans doute trop. Sur les sites en anglais, on parle de sol humide et je crois en effet qu’il a besoin d’humidité pendant la période de végétation, davantage de sécheresse en période de repos végétatif, c’est à dire après la floraison en été et en début d’hiver. Dès qu’il apparait en février, je l’arrose mais cela ne semble pas suffire, il se couche et sa fleur au sol fait peine à voir. Le voici à Veneux, la floraison est la dernière qui s’est tenue debout, en 2011, mais la spathe ploie. Il pointe le 21 février entre des feuilles d’Arum italicum :

1 dracunculus veneux 21 fev 2014 008.jpg

Le 5 mars :

2 dracunculus veneux 5 mars 2014 007.jpg

Début avril :

3 dracunculus 2 avril 048.jpg

4 dracunculus 5 avril 006.jpg

Le 28 mai :

5 dracunculus mai 2011 004.jpg

Le voici à Marnay le 12 juin :

6 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (1).jpg

7 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (2).jpg

8 dracunculus vulgaris marnay 12 juin 2014 003 (4).jpg

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11 dracunculus vulgaris marnay 1 juin 2013 023.jpg

dracunculus vulgaris marnay 1 juin 2013 024.jpg

Je crois qu’il sera souhaitable que je le transplante à Romilly cet automne, le terrain est semblable à celui de Marnay, il ne dessèche pas.

On dit qu’il pue. C’est pour plaire aux mouches mais je vous assure que lorsqu’il est planté au milieu du jardin, on ne s’en rend pas compte.


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