on peut dire aussi : non, l'été n'est pas (encore) pourri partout
Durant cette première quinzaine de juillet je me suis fait la réflexion fort peu originale que décidément les médias girouettaient l'opinion dans le sens qu'ils voulaient (et je ne parle ici que de météo), la faisant se lamenter d'une seule voix sur l'été sitôt apparu qu'il s'était changé en automne. Triste saison, disait-on (parlant d'une petite dizaine de jours, je rappelle). Revoyez ces reportages sur des plages du nord et du sud désertées, des vignobles dévastés par la grêle, des touristes maussades mais entêtés empaquetés dans leurs ponchos en plastique mouillé.