Rubus odoratus et la mouche scorpion

Publié le 23 juillet 2014 par Sambuca

La ronce odorante continue à fleurir et fructifier :

Mais je me rends vite compte qu’elle intéresse la mouche scorpion, il y en a 3 en même temps, toutes des femelles, en train de sucer un fruit ou à proximité sur une feuille.

Rappel : la mouche scorpion, Panorpa vulgaris n’est ni une mouche ni un scorpion et elle est totalement inoffensive. Celles-ci sont des femelles car l’abdomen est long et effilé. Le mâle a un abdomen élargi et retourné vers l’avant, terminé par une pince, c’est ce qui lui a valu le nom de mouche scorpion. Ce qui est remarquable aussi, c’est le « bec » formé par les mandibules longues. Il y a beaucoup de ces bestioles sur le terrain de Romilly mais je rencontre rarement des mâles. En voici un photographié un autre jour :

Elles se nourrissent essentiellement d’insectes morts mais aussi de nectar, de miellat de pucerons et de fruits et ceux de cette ronce, bien sucrés, lui plaisent.

Les fruits aujourd’hui sont différents de ceux montrés précédemment. Ils sont un peu plus petits et pas aussi aplatis. La partie comestible se détache très facilement du réceptacle :

Il y a trop peu de fruits sur cette ronce débutante pour faire un dessert. Je n’en ai goûté qu’un, je laisse les autres aux minuscules affamés. Cette mûre est facile à détacher, d’une consistance et d’un goût excellents, bien sucrée, un goût légèrement « corsé ».

La ronce odorante continue à fleurir et fructifier :

Mais je me rends vite compte qu’elle intéresse la mouche scorpion, il y en a 3 en même temps, toutes des femelles, en train de sucer un fruit ou à proximité sur une feuille.

Rappel : la mouche scorpion, Panorpa vulgaris n’est ni une mouche ni un scorpion et elle est totalement inoffensive. Celles-ci sont des femelles car l’abdomen est long et effilé. Le mâle a un abdomen élargi et retourné vers l’avant, terminé par une pince, c’est ce qui lui a valu le nom de mouche scorpion. Ce qui est remarquable aussi, c’est le « bec » formé par les mandibules longues. Il y a beaucoup de ces bestioles sur le terrain de Romilly mais je rencontre rarement des mâles. En voici un photographié un autre jour :

Elles se nourrissent essentiellement d’insectes morts mais aussi de nectar, de miellat de pucerons et de fruits et ceux de cette ronce, bien sucrés, lui plaisent.

Les fruits aujourd’hui sont différents de ceux montrés précédemment. Ils sont un peu plus petits et pas aussi aplatis. La partie comestible se détache très facilement du réceptacle :

Il y a trop peu de fruits sur cette ronce débutante pour faire un dessert. Je n’en ai goûté qu’un, je laisse les autres aux minuscules affamés. Cette mûre est facile à détacher, d’une consistance et d’un goût excellents, bien sucrée, un goût légèrement « corsé ».